Le Magal de Touba, les tenues de congrès d’investitures des partis de l’opposition et l’expiration des 48 heures du premier préavis déposé sont entre autres les raisons qui ont fait fléchir les acteurs du transport. « On a décidé de suspendre le mot d’ordre de grève pour trois raisons. La première raison est qu’on a beaucoup tenu compte du Magal de Touba qui s’approche, que tout le monde connait et qui est devenu même une fête nationale. On a beaucoup tenu compte aussi de congrès d’investiture de certains leaders de l’opposition et que nous, nous n’engageons pas à perturber ou à saboter le congrès de qui que ce soit », a précisé au micro de la RFM, l’un des transporteurs du nom de Fallou Samb qui explique la troisième raison du fait qu’ « on vient à l’expiration des 48 heures du préavis qu’on avait déposé », dit-il.
Après deux jours de perturbations de ce secteur qui ont touché pratiquement tous les niveaux, les activités semblent ce mercredi reprendre leur cours normal. Toutefois, le désagrément est loin de connaitre son épilogue car un consensus tarde à être trouvé pour le moment entre les transporteurs et le gouvernement.
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