Le vice-président de l’Alliance Jëf Jël ne désarme pas. Suite au recours pour excès de pouvoir reçu au Greffe de la Cour suprême en date du 18 avril 2014 sous le numéro J/175 du rôle général et dont la signification a été faite à l’Agent judiciaire de l’Etat conformément à la loi. Ce, contre les contre les décrets n° 2014 – 499, 2014 – 500 et 2014 - 501 en date du 10 Avril 2014, pris par Monsieur le Président de la République du Sénégal et fixant respectivement le nombre de conseillers à élire pour chaque conseil municipal, le nombre de conseillers à désigner pour chaque conseil de ville et le nombre de conseillers à élire pour chaque conseil départemental, Ndiaga Sylla passe à la vitesse supérieure.
Usant des procédures prévues par les dispositions de l'article.73-2 de la Loi organique n° 2008-35 du 7 août 2008 portant création de la Cour suprême qui indique : « sur demande expresse de la partie requérante, la Cour suprême peut, à titre exceptionnel, ordonner le sursis à exécution des décisions des autorités administratives contre lesquelles a été introduit le recours en annulation. Le sursis en exécution ne peut être accordé que si les moyens invoqués paraissent, en l’état de l’instruction, sérieux et si le préjudice encouru par le requérant est irréparable », le coordonnateur de l'Initiative pour Protection des Acquis Démocratiques (IPAD) au cœur du désaccord dans le cadre de la revue du code électoral, invite la Cour suprême à dire halte au président Sall. La demande de sursis à exécution en pièce jointe.
Autres articles
-
Mosquée Omarienne : le Président Bassirou Diomaye Faye a promis "d’achever les chantiers"
-
Rapport OFNAC sur l’Assemblée nationale : « Ne soyons pas étonnés de découvrir des choses plus graves » (Guy Marius Sagna)
-
Mali : Les partis politiques fustigent la loi organique portant sur les indemnités et avantages des membres du CNT
-
Mairie de Kaolack : le torchon brûle entre les agents municipaux et Serigne Mboup
-
Voirie urbaine : Barthélémy Dias se réjouit de l’avancement des travaux