«Nous ne devons pas accepter le diktat des terroristes. On ne doit pas accepter que d’autres nous imposent une théologie venue d’ailleurs. Tout musulman doit se respecter et connaitre sa religion et sa culture », a déclaré le chef de l’Etat qui s’est rendu ce mardi, au domicile du Khalife général des Layènes.
Macky Sall qui procédait à cette visite en prélude de la 137e édition de l’Appel de Seydina Limamou Laye qui se déroulera les 27 et 28 avril, a donné les pistes pour lutter contre cette menace qui frappe aux portes de chaque pays et dont l’éradication devient primordiale.
«C'est aux hommes religieux de guider les peuples en diffusant des enseignements du Livre Saint dans les langues nationales, afin que les jeunes puissent s’en imprégner et éviter d’être détournés par des soi-disant théologistes ou Internet et verser dans le radicalisme», indique-t-il.
C’est appel n’est pas entré dans l’oreille d’un sourd car, le fils ainé du Khalife, Seydina Issa Thiaw Laye, a adhéré à ces préceptes en affirmant que «le terrorisme s’inscrit dans nos cultures et annihile nos traditions. On doit pouvoir prévenir les populations sans pour autant installer une psychose ou la peur. Le Sénégal a une forte tradition islamique. Et c’est aux chefs religieux de mener d’abord le combat».
Macky Sall qui procédait à cette visite en prélude de la 137e édition de l’Appel de Seydina Limamou Laye qui se déroulera les 27 et 28 avril, a donné les pistes pour lutter contre cette menace qui frappe aux portes de chaque pays et dont l’éradication devient primordiale.
«C'est aux hommes religieux de guider les peuples en diffusant des enseignements du Livre Saint dans les langues nationales, afin que les jeunes puissent s’en imprégner et éviter d’être détournés par des soi-disant théologistes ou Internet et verser dans le radicalisme», indique-t-il.
C’est appel n’est pas entré dans l’oreille d’un sourd car, le fils ainé du Khalife, Seydina Issa Thiaw Laye, a adhéré à ces préceptes en affirmant que «le terrorisme s’inscrit dans nos cultures et annihile nos traditions. On doit pouvoir prévenir les populations sans pour autant installer une psychose ou la peur. Le Sénégal a une forte tradition islamique. Et c’est aux chefs religieux de mener d’abord le combat».
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