Le principal défi est d’éviter les mouvements de foule. Lors de la fête nationale, le 26 juin dernier, 16 personnes sont décédées dans une bousculade mortelle. Mais le général Samuel Rakotomalala est confiant : 5 000 forces de l’ordre seront déployées sur le site. Et tout autant dans la capitale. Par ailleurs, les participants, obligatoirement munis de billets, devront passer trois filtrages avant d’accéder au site.
« Il y a des systèmes de fouille. Fouille personnelle. Fouille avec détecteur. Et on aura aussi un dispositif contre la menace nucléaire », nous explique t-il.
Crainte d’épidémie de peste
Quant au volet sanitaire, 700 soignants, des médecins, des urgentistes, des infirmiers, des ambulanciers et des brancardiers, seront présents au milieu des fidèles tout à l’heure, équipés d’un système de drapeaux et de téléphones pour communiquer les uns avec autres. Au fond du site, 4 hôpitaux mobiles, 15 ambulances, des tentes de la Croix Rouge, et un poste médical avancé de 200m² pour soigner et opérer si besoin.
Mais ce que l’on redoute le plus, c’est l’épidémie de peste. « On a mis des postes de contrôles sanitaires à chaque grand axe d’entrée de Tana, de quoi surveiller la température de chaque pèlerin qui vient de l’extérieur de la capitale », nous explique Nicole Rakotoarison, qui dirige l’équipe de santé.
Pour renforcer les équipes de professionnels sur place, 9500 scouts sont venus de toute l’île. Ils ont été affectés à des tâches bien précises. « Premièrement, il y a l’accueil de tous les pèlerins. Deuxièmement, il y a le cordon humain avec les forces de l’ordre, pour éviter les débordements. Enfin, certains aideront aussi le corps médical au cas où il y ait des malades, des malaises, etc. », explique le père Doris, responsable des bénévoles.
Enfin, aux côtés de ces volontaires, 200 autres bénévoles, musulmans, cette fois. Un geste illustrant le message de paix et d’ouverture aux autres religions, que prônait encore hier, samedi 7 septembre, le pape François dans son discours.
« Il y a des systèmes de fouille. Fouille personnelle. Fouille avec détecteur. Et on aura aussi un dispositif contre la menace nucléaire », nous explique t-il.
Crainte d’épidémie de peste
Quant au volet sanitaire, 700 soignants, des médecins, des urgentistes, des infirmiers, des ambulanciers et des brancardiers, seront présents au milieu des fidèles tout à l’heure, équipés d’un système de drapeaux et de téléphones pour communiquer les uns avec autres. Au fond du site, 4 hôpitaux mobiles, 15 ambulances, des tentes de la Croix Rouge, et un poste médical avancé de 200m² pour soigner et opérer si besoin.
Mais ce que l’on redoute le plus, c’est l’épidémie de peste. « On a mis des postes de contrôles sanitaires à chaque grand axe d’entrée de Tana, de quoi surveiller la température de chaque pèlerin qui vient de l’extérieur de la capitale », nous explique Nicole Rakotoarison, qui dirige l’équipe de santé.
Pour renforcer les équipes de professionnels sur place, 9500 scouts sont venus de toute l’île. Ils ont été affectés à des tâches bien précises. « Premièrement, il y a l’accueil de tous les pèlerins. Deuxièmement, il y a le cordon humain avec les forces de l’ordre, pour éviter les débordements. Enfin, certains aideront aussi le corps médical au cas où il y ait des malades, des malaises, etc. », explique le père Doris, responsable des bénévoles.
Enfin, aux côtés de ces volontaires, 200 autres bénévoles, musulmans, cette fois. Un geste illustrant le message de paix et d’ouverture aux autres religions, que prônait encore hier, samedi 7 septembre, le pape François dans son discours.
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