Deux soldats maliens ont été tués ce mardi dans la matinée et deux autres blessés sur l’axe Soumpi-Niafunké, dans la région de Tombouctou, au Nord du pays, lors du passage de leur véhicule sur un engin explosif, selon une source sécuritaire.
Il s’agit d’une patrouille de l’armée qui sillonnait sur l’axe Soumpi-Niafunké, dans le cadre d’une opération de sécurisation. Le véhicule a sauté sur un engin explosif improvisé et le bilan fait état de 2 militaires tués et 2 autres blessés.
Pour rappel, le nord du Mali est tombé en avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés pour certains à Al-Qaïda. Ces groupes ont en grande partie été chassés en 2013, à la suite du lancement, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale qui se poursuit encore actuellement.
Mais des zones entières du pays échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, régulièrement visées par des attaques, malgré la signature en mai-juin 2015 d’un accord de paix, censé isoler définitivement les jihadistes, mais dont l’application accumule les retards.
Lundi, le ministre sénégalais des Affaires étrangères Sidiki Kaba, a souhaité que la réélection du président malien Ibrahim Boubacar Keita soit une « opportunité pour un retour définitif de la paix et de la stabilité, dans un Mali uni et réconcilié avec lui-même », depuis les Etats-Unis où il prend part à la 73e session de l’Assemblée générale de l’ONU.
Il s’agit d’une patrouille de l’armée qui sillonnait sur l’axe Soumpi-Niafunké, dans le cadre d’une opération de sécurisation. Le véhicule a sauté sur un engin explosif improvisé et le bilan fait état de 2 militaires tués et 2 autres blessés.
Pour rappel, le nord du Mali est tombé en avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés pour certains à Al-Qaïda. Ces groupes ont en grande partie été chassés en 2013, à la suite du lancement, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale qui se poursuit encore actuellement.
Mais des zones entières du pays échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, régulièrement visées par des attaques, malgré la signature en mai-juin 2015 d’un accord de paix, censé isoler définitivement les jihadistes, mais dont l’application accumule les retards.
Lundi, le ministre sénégalais des Affaires étrangères Sidiki Kaba, a souhaité que la réélection du président malien Ibrahim Boubacar Keita soit une « opportunité pour un retour définitif de la paix et de la stabilité, dans un Mali uni et réconcilié avec lui-même », depuis les Etats-Unis où il prend part à la 73e session de l’Assemblée générale de l’ONU.
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