La junte a invoqué « le changement de posture de certains groupes signataires », mais aussi « les actes d'hostilité et d'instrumentalisation de l'accord de la part des autorités algériennes dont le pays est le chef de file de la médiation », indique un communiqué lu à la télévision d'État par le colonel Abdoulaye Maïga, porte-parole du gouvernement installé par les militaires.
Source : FRI
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