La semaine dernière, la première tentative d’installation des autorités intérimaires dans les cinq régions administratives du nord du Mali a échoué.
Maladresse du gouvernement ? « Non. Il y a eu des incompréhensions, c’est vrai, mais je ne crois pas qu’il y ait eu des maladresses », répond Mohamed Ag Erlaf, ministre malien de l’Administration territoriale et de la Décentralisation.
Pour le ministre Mohamed Ag Erlaf, cette fois-ci, à partir du 28 février prochain, c’est la bonne.
« Touchons du bois, disons que c’est la bonne. C’est la bonne parce que toutes les difficultés, en tout cas celles qui ont été signalées, ont été aplanies. Ce chronogramme prévoit l’installation des autorités intérimaires à moins d’une semaine sur l’ensemble des cinq régions. Les propositions consensuelles seront respectées », a-t-il assuré.
Parmi les solutions consensuelles, les groupes armés du nord du Mali se sont entendus, par exemple, sur le partage du pouvoir dans des régions comme à Kidal, au nord-est. La CMA, ex-rébellion, et le GATIA, groupe armé pro-gouvernement malien, affirment que l’entente règne désormais.
Dans d’autres régions administratives du Nord, il y a eu également entente sur les noms des personnes à mettre à la tête de ces autorités intérimaires. Il reste probablement à convaincre une partie de la population du septentrion et des petits groupes armés.
Maladresse du gouvernement ? « Non. Il y a eu des incompréhensions, c’est vrai, mais je ne crois pas qu’il y ait eu des maladresses », répond Mohamed Ag Erlaf, ministre malien de l’Administration territoriale et de la Décentralisation.
Pour le ministre Mohamed Ag Erlaf, cette fois-ci, à partir du 28 février prochain, c’est la bonne.
« Touchons du bois, disons que c’est la bonne. C’est la bonne parce que toutes les difficultés, en tout cas celles qui ont été signalées, ont été aplanies. Ce chronogramme prévoit l’installation des autorités intérimaires à moins d’une semaine sur l’ensemble des cinq régions. Les propositions consensuelles seront respectées », a-t-il assuré.
Parmi les solutions consensuelles, les groupes armés du nord du Mali se sont entendus, par exemple, sur le partage du pouvoir dans des régions comme à Kidal, au nord-est. La CMA, ex-rébellion, et le GATIA, groupe armé pro-gouvernement malien, affirment que l’entente règne désormais.
Dans d’autres régions administratives du Nord, il y a eu également entente sur les noms des personnes à mettre à la tête de ces autorités intérimaires. Il reste probablement à convaincre une partie de la population du septentrion et des petits groupes armés.
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