La liste du gouvernement de Ousmane Sonko a fait couler beaucoup d’encre dans la région de Matam. Pour la première fois, pas un seul cadre de la région dans le gouvernement depuis l’indépendance (1960), ont constaté des responsables politiques. « Ce n’est pas la fin du monde », a avancé l’ancien député Mamadou Abdoulaye Dème.
« Je pense que ce n’est pas l’essentielle. L’essentiel pour la région de Matam est qu’on règle le problème de développement. Parler de la route, qu’on finit l’hôpital d’Ourossogui, l’Université Souleymane Niang, l’aéroport d’ Ourossogui, l’aménagement des terres. Ce ne sont pas les identités des ministres. Le reste, on ne peut pas combattre l’opposition et quant-ils arrivent au pouvoir, on souhaite être invité au banqué », a déclaré l’ancien député Mamadou Abdoulaye Dème.
Du côté des hommes du nouveau régime, les priorités se trouvent plutôt dans la réalisation du projet. Car selon Barka Cissé, cadre de Pastef, c’est une équipe de 25 ministres. « J’entends ces supputations depuis la mis en place du gouvernent et en tant que cadre de la région de Matam, je tiens à préciser que l’ensemble des patriotes qui ont décidé d'accompagner la coalition Diomaye Président et le président Ousmane Sonko l’on fait autour d’un projet. Et dans ce projet, je pense qu’il n’a jamais été nullement question de partage de poste, ni de territorialisation de poste », a-t- précisé au micro de la Rfm.
Pour Bocar Diako inspecteur de la jeunesse, l’essentiel se trouve ailleurs. « De 2012 à 2024, on a eu un ministre de la Justice, on a eu un ministre des télécommunications, un ministre de l’éducation, on a eu des Directeurs généraux, des PCA. Donc je pense que les priorités sont ailleurs. J’appelle tous les jeunes à faire bloc. Qu’ils puissent montrer qu’ils sont des acteurs du changement, mais pas des spectateurs ».
Largement débattue par BBY, la question qui s’impose aujourd’hui est de savoir comment la nouvelle majorité au pouvoir réagira-t-elle pour tenter de renverser la tendance.
« Je pense que ce n’est pas l’essentielle. L’essentiel pour la région de Matam est qu’on règle le problème de développement. Parler de la route, qu’on finit l’hôpital d’Ourossogui, l’Université Souleymane Niang, l’aéroport d’ Ourossogui, l’aménagement des terres. Ce ne sont pas les identités des ministres. Le reste, on ne peut pas combattre l’opposition et quant-ils arrivent au pouvoir, on souhaite être invité au banqué », a déclaré l’ancien député Mamadou Abdoulaye Dème.
Du côté des hommes du nouveau régime, les priorités se trouvent plutôt dans la réalisation du projet. Car selon Barka Cissé, cadre de Pastef, c’est une équipe de 25 ministres. « J’entends ces supputations depuis la mis en place du gouvernent et en tant que cadre de la région de Matam, je tiens à préciser que l’ensemble des patriotes qui ont décidé d'accompagner la coalition Diomaye Président et le président Ousmane Sonko l’on fait autour d’un projet. Et dans ce projet, je pense qu’il n’a jamais été nullement question de partage de poste, ni de territorialisation de poste », a-t- précisé au micro de la Rfm.
Pour Bocar Diako inspecteur de la jeunesse, l’essentiel se trouve ailleurs. « De 2012 à 2024, on a eu un ministre de la Justice, on a eu un ministre des télécommunications, un ministre de l’éducation, on a eu des Directeurs généraux, des PCA. Donc je pense que les priorités sont ailleurs. J’appelle tous les jeunes à faire bloc. Qu’ils puissent montrer qu’ils sont des acteurs du changement, mais pas des spectateurs ».
Largement débattue par BBY, la question qui s’impose aujourd’hui est de savoir comment la nouvelle majorité au pouvoir réagira-t-elle pour tenter de renverser la tendance.
Autres articles
-
Sénégal : « sur les 326 partis créés, seuls 70 ont une adresse connue » (Moundiaye Cissé)
-
Politique : Mamour Cissé fait des révélations et invite Amadou Ba à prendre son destin en main
-
Fonds Covid : noms des personnes figurant sur la liste envoyée au procureur de la République
-
"La rupture ne doit pas être un slogan ou des idéaux", (Monseigneur André Guèye)
-
Séjour de Jean-Luc Mélenchon au Sénégal sur invitation de Sonko : le leader de PSD/Jant bi estime que Sonko n’est pas conscient que sa casquette a changé