Les délibérations ont duré jusqu’à 4 heures du matin dans la nuit de mercredi à jeudi, assure-t-on au Conseil constitutionnel et les six dossiers déposés par les candidats ont tous été retenus.
En lice donc, Mohamed Ghazouani le candidat de l’UPR, le parti au pouvoir. chef d'Etat major de 2008 à 2018 puis éphémère ministre de la Défense avant de se porter candidat en mars dernier. Ce proche de l’actuel président Aziz est donné favori.
Mais il devra affronter un ancien premier Ministre, Sidi Mohamed Ould Boubacar. A la tête de l’exécutif entre 1992 et 1996 ainsi que durant la période de transition entre 2005 et 2007, il est notamment soutenu par le parti islamiste Tawassoul.
Du côté de l’opposition historique, c’est Mohamed Ould Maouloud, le président de l’UFP et du Forum de l’opposition de l’opposition (fndu), tenant d’une gauche radicale et rassembleuse qui se présente. Dans la veine d’une politique de cohésion nationale, Biram Dah Abeid, défenseur des droits de l’homme et leader du mouvement anti-esclavagiste IRA, est également candidat. Tout comme Kane Hamidou Baba, qui conduit le mouvement « Vivre ensemble », et compte bien fédérer les minorités autour de sa candidature.
Enfin, Mohamed Lemine El Wavi, fonctionnaire du ministère des Finances -inconnu du grand public-, a lui aussi recueilli la centaine de parrainages nécessaires pour se présenter aux élections présidentielles.
Les candidats ont jusqu’à samedi pour déposer un recours, mais aucun d’eux ne semble vouloir le faire.
En lice donc, Mohamed Ghazouani le candidat de l’UPR, le parti au pouvoir. chef d'Etat major de 2008 à 2018 puis éphémère ministre de la Défense avant de se porter candidat en mars dernier. Ce proche de l’actuel président Aziz est donné favori.
Mais il devra affronter un ancien premier Ministre, Sidi Mohamed Ould Boubacar. A la tête de l’exécutif entre 1992 et 1996 ainsi que durant la période de transition entre 2005 et 2007, il est notamment soutenu par le parti islamiste Tawassoul.
Du côté de l’opposition historique, c’est Mohamed Ould Maouloud, le président de l’UFP et du Forum de l’opposition de l’opposition (fndu), tenant d’une gauche radicale et rassembleuse qui se présente. Dans la veine d’une politique de cohésion nationale, Biram Dah Abeid, défenseur des droits de l’homme et leader du mouvement anti-esclavagiste IRA, est également candidat. Tout comme Kane Hamidou Baba, qui conduit le mouvement « Vivre ensemble », et compte bien fédérer les minorités autour de sa candidature.
Enfin, Mohamed Lemine El Wavi, fonctionnaire du ministère des Finances -inconnu du grand public-, a lui aussi recueilli la centaine de parrainages nécessaires pour se présenter aux élections présidentielles.
Les candidats ont jusqu’à samedi pour déposer un recours, mais aucun d’eux ne semble vouloir le faire.
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