La première session du comité réunissait autour de la table des autorités comoriennes, françaises et des élus venus de Mayotte. Elle faisait suite à la signature le 22 juillet dernier d’un document-cadre par les présidents des deux pays. Dans son discours de clôture, El-Amine Souef, ministre des Affaires étrangères a mis l’accent sur Mayotte et la gestion des expulsions.
« Ces gens qui sont expulsés régulièrement à Mayotte ne peuvent pas retourner aux Comores tel qu’on le faisait avant. Il y a des mesures d’accompagnement donc dans cette enveloppe de 150 millions, il y a une partie qui concerne cette jeunesse. Une jeunesse qui n‘a pas sa place là-bas et qui ne peut pas avoir sa place ici. Il faut que cette jeunesse soit qualifiée pour pouvoir être intégrée. »
Emmanuel Macron a en tout cas clairement chiffré un objectif comme le rappelle Mansour Kamardine, député français Les Républicains. « Le président Macron a parlé de 26 000 personnes reconduites à la frontière. Parmi ces personnes il peut y avoir effectivement des jeunes. Il n’y a pas de partie mahoraise. La partie française -Mayotte est française- espère qu’il y ait un contrôle beaucoup plus responsable des mouvements de population entre l’union des Comores et Mayotte et surtout de protéger les vies humaines. »
Une convention de subvention d’un million d’euros et un accord d’établissement de l’Agence française d’expertise internationale ont été signés jeudi par les deux chefs de délégations.
« Ces gens qui sont expulsés régulièrement à Mayotte ne peuvent pas retourner aux Comores tel qu’on le faisait avant. Il y a des mesures d’accompagnement donc dans cette enveloppe de 150 millions, il y a une partie qui concerne cette jeunesse. Une jeunesse qui n‘a pas sa place là-bas et qui ne peut pas avoir sa place ici. Il faut que cette jeunesse soit qualifiée pour pouvoir être intégrée. »
Emmanuel Macron a en tout cas clairement chiffré un objectif comme le rappelle Mansour Kamardine, député français Les Républicains. « Le président Macron a parlé de 26 000 personnes reconduites à la frontière. Parmi ces personnes il peut y avoir effectivement des jeunes. Il n’y a pas de partie mahoraise. La partie française -Mayotte est française- espère qu’il y ait un contrôle beaucoup plus responsable des mouvements de population entre l’union des Comores et Mayotte et surtout de protéger les vies humaines. »
Une convention de subvention d’un million d’euros et un accord d’établissement de l’Agence française d’expertise internationale ont été signés jeudi par les deux chefs de délégations.
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