«Cette année nous avons décidé de faire la thématique sur la Rse et la croissance inclusive. La Rse doit être répandue aujourd’hui dans toutes les entreprises pour impliquer les travailleurs dans la politique de l’entreprise en prenant en compte leurs préoccupations sociales, leurs problèmes entre autres», a d’emblée déclaré Mbagnick Diop, le président du Meds. C’était hier, lors de la 15eme session des assises économiques du Mouvement des entreprises du Sénégal (Meds).
Selon Mr Diop, l’implication des Sénégalais dans les affaires économiques du pays est plus que nécessaire. Ce qui doit passer, entre autres, par le relèvement de leur niveau d’information : «On parle tout le temps de croissance et les Sénégalais se demandent ce que c’est la croissance ? Parce qu’elle est absente dans le panier de la ménagère. C’est pour cela qu’on dit que la croissance devrait partir du bas vers le haut. Vous avez vu que 85% de la richesse mondiale sont détenus par 20% et les pauvres deviennent de plus en plus pauvres. Donc, il est nécessaire d’inverser cette tendance en impliquant le Sénégalais lambda pour que la croissance soit partagée par les plus démunis. Si ces derniers ont du travail et s’activent dans la vie économique, cette croissance est redistribuée pour diminuer les inégalités. De ce fait, ce genre d’assise incite les entreprises à mettre la Rse au cœur de leur politique entrepreneuriale».
la balle au bond, le Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne a déclaré que : «Le nouveau paradigme de la croissance solidaire place l’entreprise au cœur des préoccupations de la société».
Et Mr Dionne de conclure : «Le succès de ces orientations politiques de croissances inclusives repose sur l’adhésion effective des entrepreneurs assez influents dans leurs secteurs d’activité, pour privilégier la compétence, l’adaptation, les innovations et l’amélioration constante des conditions de travail, ainsi que la satisfaction des clients».
Selon Mr Diop, l’implication des Sénégalais dans les affaires économiques du pays est plus que nécessaire. Ce qui doit passer, entre autres, par le relèvement de leur niveau d’information : «On parle tout le temps de croissance et les Sénégalais se demandent ce que c’est la croissance ? Parce qu’elle est absente dans le panier de la ménagère. C’est pour cela qu’on dit que la croissance devrait partir du bas vers le haut. Vous avez vu que 85% de la richesse mondiale sont détenus par 20% et les pauvres deviennent de plus en plus pauvres. Donc, il est nécessaire d’inverser cette tendance en impliquant le Sénégalais lambda pour que la croissance soit partagée par les plus démunis. Si ces derniers ont du travail et s’activent dans la vie économique, cette croissance est redistribuée pour diminuer les inégalités. De ce fait, ce genre d’assise incite les entreprises à mettre la Rse au cœur de leur politique entrepreneuriale».
la balle au bond, le Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne a déclaré que : «Le nouveau paradigme de la croissance solidaire place l’entreprise au cœur des préoccupations de la société».
Et Mr Dionne de conclure : «Le succès de ces orientations politiques de croissances inclusives repose sur l’adhésion effective des entrepreneurs assez influents dans leurs secteurs d’activité, pour privilégier la compétence, l’adaptation, les innovations et l’amélioration constante des conditions de travail, ainsi que la satisfaction des clients».
Autres articles
-
Critiques sur les nouvelles réformes : l’Amicale des Inspecteurs et Officiers des Douanes prend la défense des cadres et de l’Administration
-
Souveraineté alimentaire : « On ne peut atteindre l’autosuffisance alimentaire sans développer et investir davantage dans le secteur agricole » (Abdourahmane Ndiaye)
-
Sénègal : le secteur minier confronté à l'insuffisance des ressources financières allouées à son administration
-
Défis et incohérences dans la gestion minière sénégalaise : les recommandations de la Cour des comptes
-
Microfinance : le ministre Alioune Dione promet de rationaliser les ressources