«Dans la posture où il est actuellement, je ne pense pas qu’il ait les moyens de s’imposer comme une personnalité de premier plan dans la sphère politique sénégalaise. Parce qu’il est encore sous le coup de beaucoup de contraintes. Il n’a pas été amnistié, mais gracié », a déclaré l’analyste politique qui se penchait sur les freins qui pourraient empêcher à l’ancien prisonnier le plus célèbre du Sénégal de réaliser son vœu de devenir président de la République du Sénégal.
Et Momar Seyni Ndiaye de poursuivre dans les colonnes de sud quotidien: «Donc, sa première contrainte est son statut politique et civique, qui n’est pas totalement réglé, malgré la grâce. Beaucoup de juristes conviennent avec moi que, si on regarde bien le Code électoral, Karim Wade n’est pas à mesure d’être ni électeur, ni éligible ».
En plus de cela, l’analyste affirme qu’un autre facteur est venu corser l’addition : « Il y a d’autres hypothèques qui pèsent sur lui. L’une de ses hypothèques, c’est qu’il est obligé de se conformer au remboursement de la dette. Sinon, il risquerait de subir ce qu’on appelle une contrainte de corps, c'est-à-dire on l’obligerait à payer l’amende au risque de le remettre en prison. Ce sont des choses qu’il aura beaucoup de mal à contourner pour pouvoir exercer des activités politiques».
Et Momar Seyni Ndiaye de poursuivre dans les colonnes de sud quotidien: «Donc, sa première contrainte est son statut politique et civique, qui n’est pas totalement réglé, malgré la grâce. Beaucoup de juristes conviennent avec moi que, si on regarde bien le Code électoral, Karim Wade n’est pas à mesure d’être ni électeur, ni éligible ».
En plus de cela, l’analyste affirme qu’un autre facteur est venu corser l’addition : « Il y a d’autres hypothèques qui pèsent sur lui. L’une de ses hypothèques, c’est qu’il est obligé de se conformer au remboursement de la dette. Sinon, il risquerait de subir ce qu’on appelle une contrainte de corps, c'est-à-dire on l’obligerait à payer l’amende au risque de le remettre en prison. Ce sont des choses qu’il aura beaucoup de mal à contourner pour pouvoir exercer des activités politiques».
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