Le président-candidat Nicolas Sarkozy sur la place de la Concorde, le 15 avril 2012. REUTERS/Gonzalo Fuentes
« Ils pensaient, peut-être même espéraient-il que le peuple de France ne serait pas au rendez-vous et le peuple de France est venu puisque le peuple de France est là. » Malgré un vent glacial, ils sont en effet venus par millier place de la Concorde. Peut-être pas 100 000 comme annoncé mais suffisamment nombreux pour réchauffer le moral d’un président-candidat très en retard dans les sondages et qui en appel aujourd’hui çà tous les Français. « Moi je veux parler au peuple de France, pas à la gauche, pas à la droite, je veux parler au citoyen libre de mon pays », a-t-il déclaré.
Et Nicolas Sarkozy de proposer un nouveau modèle français reposant sur l’effort et le travail, pas question d’immobilisme, martèle-t-il, se glissant même dans les pas du général de-gaulle pour exiger de l’Europe un débat sur la BCE, la Banque centrale européenne et son soutien à la croissance : « Il n’a pas hésité à faire la politique de la chaise vide, on l’a accusé de détruire l’Europe alors qu’à ce moment-là par cette politique-là, il a construit l’Europe pour les décennies qui allaient suivre ».
Un discours d’action et de fermeté à une semaine du premier tour. Nicolas Sarkozy entend ainsi chasser le doute et remobiliser son électorat de droite : « Peuple de France n’ayez pas peur, ils ne gagneront pas si vous décidez que vous voulez gagner ».
Et Nicolas Sarkozy de proposer un nouveau modèle français reposant sur l’effort et le travail, pas question d’immobilisme, martèle-t-il, se glissant même dans les pas du général de-gaulle pour exiger de l’Europe un débat sur la BCE, la Banque centrale européenne et son soutien à la croissance : « Il n’a pas hésité à faire la politique de la chaise vide, on l’a accusé de détruire l’Europe alors qu’à ce moment-là par cette politique-là, il a construit l’Europe pour les décennies qui allaient suivre ».
Un discours d’action et de fermeté à une semaine du premier tour. Nicolas Sarkozy entend ainsi chasser le doute et remobiliser son électorat de droite : « Peuple de France n’ayez pas peur, ils ne gagneront pas si vous décidez que vous voulez gagner ».
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