Deux des trois kamikazes sont des femmes, selon les services d'urgence du pays.
Les explosions de vendredi à Maiduguri ont été attribuées au groupe islamiste nigérian Boko Haram.
Ces attaques sont les dernières en date imputées à des kamikazes qui continuent de viser la population civile en dépit des succès remportés par l'armée contre le groupe islamiste.
Le 17 février, sept kamikazes, dont six femmes, avaient été abattus ou s'étaient fait exploser avant d'atteindre leurs cibles.
Depuis son début en 2009, l'insurrection de Boko Haram a fait quelque 20.000 morts et plus de 2,6 millions de déplacés.
Autres articles
-
Pas d'accord en vue entre le Bénin et le Niger sur la réouverture de leur frontière
-
«On n'a rien pu sauver»: au Kénya, le désarroi des agriculteurs qui ont tout perdu dans les inondations
-
Afrique du Sud: surprise du scrutin, le parti MK de l'ex-président Zuma conteste les résultats
-
Soudan du Sud: l'État du Jonglei en proie à des tensions après l'éviction de son gouverneur
-
Une communication russe jette le trouble sur la libération de 21 militaires tchadiens