Selon Oumar Gueye, cette rencontre est d’une grande importance dans la mesure où, elle regroupe des scientifiques dans plusieurs domaines concernant la pêche. « Les changements climatiques constatés actuellement dans le monde impactent négativement sur la pêche, c’est la raison pour laquelle il faut prévoir les influences du changement climatique sur les ressources » a-t-il soutenu, il a indiqué par ailleurs que certains poissons se font rares car étant confrontés à des agressions telle que la pêche illégale. Et si rien n’est fait les ressources de la mer vont disparaître ou diminuées considérablement.
La tutelle a profité de l’occasion pour rappeler l’importance des accords signés avec l’Union Européenne (UE) et la Mauritanie. «Nous avons signé deux accords de pêche importants pour le Sénégal. Le premier, c’est avec l’UE. Nous avons ciblé le Thon qui n’est pas une espèce menacée, elle est suivi par une organisation internationale, il n'y a pas de risques pour que l’UE pêche cette espèce. C’est pourquoi le Sénégal a signé cet accord », rassure t-il. L’autre accord avec la Mauritanie, permet aux pêcheurs de Saint-Louis de bénéficier de 400 licences et 50 tonnes. Ainsi, ils pourront pêcher dans les meilleures conditions. Il faut noter que la Conférence Internationale « Approche écosystémique de la gestion des pêches et de l'environnement marin dans les eaux ouest-africaines » a pour but de permettre aux Etats membres de la CSRP et leurs partenaires africains et européens de contribuer à la mise en place des bases scientifiques nécessaires pour une gestion durable des pêches et de l'environnement marin.
Selon les acteurs, les États africains de la façade Atlantique font face à de nombreux défis, notamment la gestion des ressources halieutiques associée à la surexploitation et à de rapides changements hydro-climatiques. Ainsi, les conséquences de ces deux phénomènes sur les ressources halieutiques et l’environnement marin sont au cœur des débats entre les gestionnaires. Et auxquels les chercheurs de la sous-région prennent part.
La tutelle a profité de l’occasion pour rappeler l’importance des accords signés avec l’Union Européenne (UE) et la Mauritanie. «Nous avons signé deux accords de pêche importants pour le Sénégal. Le premier, c’est avec l’UE. Nous avons ciblé le Thon qui n’est pas une espèce menacée, elle est suivi par une organisation internationale, il n'y a pas de risques pour que l’UE pêche cette espèce. C’est pourquoi le Sénégal a signé cet accord », rassure t-il. L’autre accord avec la Mauritanie, permet aux pêcheurs de Saint-Louis de bénéficier de 400 licences et 50 tonnes. Ainsi, ils pourront pêcher dans les meilleures conditions. Il faut noter que la Conférence Internationale « Approche écosystémique de la gestion des pêches et de l'environnement marin dans les eaux ouest-africaines » a pour but de permettre aux Etats membres de la CSRP et leurs partenaires africains et européens de contribuer à la mise en place des bases scientifiques nécessaires pour une gestion durable des pêches et de l'environnement marin.
Selon les acteurs, les États africains de la façade Atlantique font face à de nombreux défis, notamment la gestion des ressources halieutiques associée à la surexploitation et à de rapides changements hydro-climatiques. Ainsi, les conséquences de ces deux phénomènes sur les ressources halieutiques et l’environnement marin sont au cœur des débats entre les gestionnaires. Et auxquels les chercheurs de la sous-région prennent part.
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