Dr Malick Diop porte-parole de l'Alliance des forces et progrès (Afp), a exprimé ses craintes suite à la découverte de plusieurs variants de la COVID-19 en circulation au Sénégal. S'exprimant à l'émission Grand Jury de la RFM, il a appelé la population à la vigilance.
« Les populations doivent avoir peur. Je suis allé dans des zones où ces variants y sont et ont été étendus. C'est vrai qu'on est au début, mais vu du comportement des populations, je n'ai pas trop d'espoir. Je suis quasiment certains qu'il y aura des conséquences énormes », a prévenu Dr Diop.
Prenant l'exemple du variant indien, appelé désormais variant delta, il a fait savoir que celui-ci est une double mutation. C'est un gros problème, dira-t-il, ajoutant que «même les personnes vaccinées ne sont pas sûres d'être protégées de cette pathologie ».
« Quand il y a eu la seconde vague, combien de personnes sont passées de cas simples à cas graves. Ils sont entrés en réanimation. C'était les choses classiques. Or, le variant indien, c'est deux fois et demi le passage du cas simple à cas grave. Donc si ce variant rentre ici et se multiplie, ça va poser énormément de problèmes », a-t-il dit. Dr Malick Diop a appelé les Sénégalais à « plus de vigilance et à continuer à respecter à distanciation physique ».
« Les populations doivent avoir peur. Je suis allé dans des zones où ces variants y sont et ont été étendus. C'est vrai qu'on est au début, mais vu du comportement des populations, je n'ai pas trop d'espoir. Je suis quasiment certains qu'il y aura des conséquences énormes », a prévenu Dr Diop.
Prenant l'exemple du variant indien, appelé désormais variant delta, il a fait savoir que celui-ci est une double mutation. C'est un gros problème, dira-t-il, ajoutant que «même les personnes vaccinées ne sont pas sûres d'être protégées de cette pathologie ».
« Quand il y a eu la seconde vague, combien de personnes sont passées de cas simples à cas graves. Ils sont entrés en réanimation. C'était les choses classiques. Or, le variant indien, c'est deux fois et demi le passage du cas simple à cas grave. Donc si ce variant rentre ici et se multiplie, ça va poser énormément de problèmes », a-t-il dit. Dr Malick Diop a appelé les Sénégalais à « plus de vigilance et à continuer à respecter à distanciation physique ».
Jeudi soir, l’Institut Pasteur de Dakar, a annoncé la circulation au Sénégal des variants nigérian, britannique, sud- africain et indien, exhortant la population au respect strict des mesures barrières contre la Covid-19, dans un communiqué.
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