«Abdoulaye Wade est un homme d’Etat, un homme politique envers qui j’ai beaucoup de considération et je considère que lui-même et sa famille sont en train de vivre une situation très difficile», a soutenu Malick Gackou au sortir de sa visite à l’ancien président de la République. Et de poursuivre : «Je prie Dieu pour que cette situation soit vite dépassée pour l’intérêt du Sénégal». Le numéro 2 de l’Afp montre ainsi son soutien aux membres du Pds qui ont maille à partir avec la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite(CREI).
Sur un autre registre, le progressiste répond à l’accusation selon laquelle il serait financé par Abdoulaye Wade et son fils Karim : «J’ai entendu récemment un ministre de l’Afp dire que ce sont Karim et le président Wade qui m’ont financé» déclare-t-il, avant de monter créneau «c’est une énormité grossière puisque ni Karim Wade ni Abdoulaye Wade ne peuvent me financer. Je suis un homme libre. Je suis un enfant de pauvres et je sais ce que c’est le prix de la liberté. C’est la raison pour laquelle je ne permettrai pas que quelqu’un me finance dans l’action que je mène pour mon pays. Cela je me le refuserai toujours».
Malick Gackou a aussi tenu à préciser que cette visite n’était pas de son initiative, mais celle de Maitre Wade qui «m’a fait l’amitié de m’écrire une lettre pour me demander de venir lui rendre visite afin qu’il me donne ses conseils en tant que doyen, en tant que père, en tant qu’ancien chef d’Etat mais également en tant qu’homme politique qui a marqué l’histoire de notre pays et de l’Afrique». Conseils que le dauphin de Moustapha Niasse entend mettre en œuvre.
Sur un autre registre, le progressiste répond à l’accusation selon laquelle il serait financé par Abdoulaye Wade et son fils Karim : «J’ai entendu récemment un ministre de l’Afp dire que ce sont Karim et le président Wade qui m’ont financé» déclare-t-il, avant de monter créneau «c’est une énormité grossière puisque ni Karim Wade ni Abdoulaye Wade ne peuvent me financer. Je suis un homme libre. Je suis un enfant de pauvres et je sais ce que c’est le prix de la liberté. C’est la raison pour laquelle je ne permettrai pas que quelqu’un me finance dans l’action que je mène pour mon pays. Cela je me le refuserai toujours».
Malick Gackou a aussi tenu à préciser que cette visite n’était pas de son initiative, mais celle de Maitre Wade qui «m’a fait l’amitié de m’écrire une lettre pour me demander de venir lui rendre visite afin qu’il me donne ses conseils en tant que doyen, en tant que père, en tant qu’ancien chef d’Etat mais également en tant qu’homme politique qui a marqué l’histoire de notre pays et de l’Afrique». Conseils que le dauphin de Moustapha Niasse entend mettre en œuvre.
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