Les forces politiques et combattantes unifiées du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) ont franchi un pas gérant dans le processus de paix. Elles ont décidé de déposer des armes et privilégier le dialogue. Seul Salif Sadio est réticent, mais sa sœur et les femmes du bois sacré se battent pour le convaincre, selon Les Echos.
Lors du conclave de 48 heures qui s’est tenu à Ziguinchor, au sud du Sénégal, les femmes du bois sacré, engagées dans le processus de paix depuis des années, ont annoncé que des pourparlers se poursuivent avec les ailes récalcitrantes.
« Nous nous sommes rendues à Diakaye pour rencontrer les combattants. Ils nous ont fait savoir qu’ils veulent sortir du maquis. Endmond Bara, successeur de feu Elinkine Diatta, nous a demandé du temps. Il est toujours dans le processus de réunification de son aile qui semble avoir encore des combattants réticents », a révélé Marie Rosalie Coly, présidente des femmes du bois sacré.
Par contre, le chef Salif Sadio qui était toujours récalcitrant est campé sur la position. « Nous sommes en discussion direct avec lui. Sa propre sœur, qui est membre de notre organisation, nous facilite dans cette mission compliquée de le convaincre à accepter de s’asseoir à la table de négociation. Nous sommes confiantes parce qu’ils veulent tous en finir définitivement », a-t-elle ajouté.
Lors du conclave de 48 heures qui s’est tenu à Ziguinchor, au sud du Sénégal, les femmes du bois sacré, engagées dans le processus de paix depuis des années, ont annoncé que des pourparlers se poursuivent avec les ailes récalcitrantes.
« Nous nous sommes rendues à Diakaye pour rencontrer les combattants. Ils nous ont fait savoir qu’ils veulent sortir du maquis. Endmond Bara, successeur de feu Elinkine Diatta, nous a demandé du temps. Il est toujours dans le processus de réunification de son aile qui semble avoir encore des combattants réticents », a révélé Marie Rosalie Coly, présidente des femmes du bois sacré.
Par contre, le chef Salif Sadio qui était toujours récalcitrant est campé sur la position. « Nous sommes en discussion direct avec lui. Sa propre sœur, qui est membre de notre organisation, nous facilite dans cette mission compliquée de le convaincre à accepter de s’asseoir à la table de négociation. Nous sommes confiantes parce qu’ils veulent tous en finir définitivement », a-t-elle ajouté.
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