«Depuis la précédente édition d’Afropixel « Jardins de Résistance », en mai 2014, l’école des communs de « Kër-Thiossane » a toujours cherché à travers l’art et les technologies dites « ouvertes » à développer ou à consolider des actions de solidarité, de voisinage, et de citoyenneté», a déclaré Ndèye Mané Touré, une des présentatrices du festival.
Et de poursuivre : « C’est dans cette optique que cette nouvelle édition sous le thème de « Ville en commun », poursuit la réflexion et l’action menées depuis deux (2) au Sénégal, en se concentrant sur les dynamiques d’action collective pour le bien commun».
Cette dynamique sera d’autant mieux vulgariser avec le thème choisi cette année, informe la directrice de Ker Thiossane. En effet, selon Marion Louisgrand-Sylla : «pour la première fois on est la bélisé par l’hôtel de ville de Dakar,mais aussi au tour de la12ième édition de la Biennale dont le thème de cette année est :«la cité dans une ville bleue », tiré du recueil de Senghor, hostie noire ».
Et d’ajouter : «Une occasion pour Kër-Thiossane de partager et de montrer ce qui est fait, à savoir, penser la ville à travers le numérique. Car, on constate tous que la ville a des problèmes. Un peu partout dans le monde, les gens cherchent des solutions pour les villes».
Toujours dans cette logique, elle a informé que : «nous essayons d’apporter des solutions ou en tout cas de faire réfléchir des gens à travers notre planning artistique et les technologies dites «ouvertes», sur le cas de la SICA, qui a été un quartier emblématique, mais qui est devenu méconnaissable aujourd’hui».
Et de poursuivre : « C’est dans cette optique que cette nouvelle édition sous le thème de « Ville en commun », poursuit la réflexion et l’action menées depuis deux (2) au Sénégal, en se concentrant sur les dynamiques d’action collective pour le bien commun».
Cette dynamique sera d’autant mieux vulgariser avec le thème choisi cette année, informe la directrice de Ker Thiossane. En effet, selon Marion Louisgrand-Sylla : «pour la première fois on est la bélisé par l’hôtel de ville de Dakar,mais aussi au tour de la12ième édition de la Biennale dont le thème de cette année est :«la cité dans une ville bleue », tiré du recueil de Senghor, hostie noire ».
Et d’ajouter : «Une occasion pour Kër-Thiossane de partager et de montrer ce qui est fait, à savoir, penser la ville à travers le numérique. Car, on constate tous que la ville a des problèmes. Un peu partout dans le monde, les gens cherchent des solutions pour les villes».
Toujours dans cette logique, elle a informé que : «nous essayons d’apporter des solutions ou en tout cas de faire réfléchir des gens à travers notre planning artistique et les technologies dites «ouvertes», sur le cas de la SICA, qui a été un quartier emblématique, mais qui est devenu méconnaissable aujourd’hui».
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