L’opposant Moïse Katumbi affirme avoir d'abord été empêché de rentrer en RDC par l’aéroport international de Luano, à Lubumbashi. Il avait tenté, par deux fois et sans succès, de rentrer par Kasumbalesa, à la frontière avec la Zambie. Selon les responsables de l’immigration zambienne, le gouvernement de Kinshasa n’a pas souhaité recevoir l’ancien gouverneur de l’ex-Katanga sur le territoire congolais, au motif que sa présence risque de provoquer des troubles.
Alors que Moïse Katumbi se trouvait de l'autre côté de la frontière, les forces de l’ordre et de sécurité s’occupaient de la foule qui avait réussi à se rassembler à Kasumbalesa, côté congolais, pour organiser son accueil, chansons hostiles au pouvoir à l’appui, pendant qu’en plusieurs endroits, des pneus flambaient.
Selon des témoins, de nombreuses arrestations avaient alors été opérées sur place.
« Des habitations avaient également été visitées au petit matin », explique Maître Sonville Mukendi, l’un des porte-parole de la plateforme pro-Katumbi, Ensemble pour le changement.
Convoyées à Lubumbashi, soixante-et-onze des personnes arrêtées ont été présentées, vendredi 10 août, au parquet de Lubumbashi, accusées « d’avoir troublé » l’ordre public. Ces personnes ont immédiatement été placées en détention provisoire à la prison centrale de la Kasapa.
Sur place, à Lubumbashi, les autorités n’étaient pas joignables samedi soir.
Alors que Moïse Katumbi se trouvait de l'autre côté de la frontière, les forces de l’ordre et de sécurité s’occupaient de la foule qui avait réussi à se rassembler à Kasumbalesa, côté congolais, pour organiser son accueil, chansons hostiles au pouvoir à l’appui, pendant qu’en plusieurs endroits, des pneus flambaient.
Selon des témoins, de nombreuses arrestations avaient alors été opérées sur place.
« Des habitations avaient également été visitées au petit matin », explique Maître Sonville Mukendi, l’un des porte-parole de la plateforme pro-Katumbi, Ensemble pour le changement.
Convoyées à Lubumbashi, soixante-et-onze des personnes arrêtées ont été présentées, vendredi 10 août, au parquet de Lubumbashi, accusées « d’avoir troublé » l’ordre public. Ces personnes ont immédiatement été placées en détention provisoire à la prison centrale de la Kasapa.
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