Quelque 526 millions de dollars pour financer la présidentielle mais aussi les législatives et les provinciales, ces trois scrutins que le gouvernement s'est engagé à organiser d'ici la fin de l'année. Les municipales et les locales devraient coûter 385 millions de dollars, une somme que l'Etat n'aura cependant pas besoin de mobiliser avant 2018 quand ces élections devront être organisées.
Enfin, l'enrôlement des électeurs, en cours depuis décembre, coûtera 400 millions de dollars. Une enveloppe qui a déjà commencé à être dépensée en 2016. Résultat : 15 millions de nouveaux électeurs déjà inscrits, se réjouit la Ceni, soit un tiers des 45 millions de personnes attendues.
Autre point d'inquiétude : la durée de cet enrôlement, sachant que dans presque toutes les provinces les opérations ont pris du retard avec des cas de vols de matériels, d'attaques de groupes armés ou encore l'assassinat de sept agents de la Ceni, mais aussi des difficultés logistiques comme un manque de carburant pour acheminer le matériel dans ce pays gigantesque. Mais là encore, la commission électorale se veut rassurante, les opérations sont en cours et les électeurs ont jusque fin juillet pour s'enregistrer.
Reste que la principale inconnue demeure, celle de la date des élections. Aucun calendrier n'a encore été annoncé, malgré les demandes répétées de la communauté internationale - qui dit attendre cette date pour apporter 120 millions de dollars de financement.
Pour la Commission électorale la balle est dans le camp des acteurs politiques, tout dépend de leur volonté à mettre en œuvre l'accord signé le 31 décembre dernier.
Enfin, l'enrôlement des électeurs, en cours depuis décembre, coûtera 400 millions de dollars. Une enveloppe qui a déjà commencé à être dépensée en 2016. Résultat : 15 millions de nouveaux électeurs déjà inscrits, se réjouit la Ceni, soit un tiers des 45 millions de personnes attendues.
Autre point d'inquiétude : la durée de cet enrôlement, sachant que dans presque toutes les provinces les opérations ont pris du retard avec des cas de vols de matériels, d'attaques de groupes armés ou encore l'assassinat de sept agents de la Ceni, mais aussi des difficultés logistiques comme un manque de carburant pour acheminer le matériel dans ce pays gigantesque. Mais là encore, la commission électorale se veut rassurante, les opérations sont en cours et les électeurs ont jusque fin juillet pour s'enregistrer.
Reste que la principale inconnue demeure, celle de la date des élections. Aucun calendrier n'a encore été annoncé, malgré les demandes répétées de la communauté internationale - qui dit attendre cette date pour apporter 120 millions de dollars de financement.
Pour la Commission électorale la balle est dans le camp des acteurs politiques, tout dépend de leur volonté à mettre en œuvre l'accord signé le 31 décembre dernier.
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