Sur la liste, trente noms, trente personnes détenues dans la prison de Makala à Kinshasa, de Kasapa à Lubumbashi, ou dans les cachots de l'ANR. On y dénombre sept membres de mouvements de la société civile, dont Fred Bauma et Yves Makwambala, arrêtés le 15 mars 2015 lors d'une rencontre internationale sur la bonne gouvernance en Afrique, « dans l'exercice de leur libertés publiques », affirme Georges Kapiamba, le président de l'Acaj.
Y sont aussi une quizaine membres de l'Unafec, un parti d'opposition membre du G7. La plupart d'entre eux ont été arrêtés en avril 2016 lors d'une opération de la police au siège de leur parti. Les autres, affirme l'avocat, sont victimes de montages judiciaires.
Viols sur mineures
Parmi eux, il cite Eugène Diomi Ndongala, le président du parti Démocratie chrétienne, condamné en 2014 à dix ans de prison pour viols sur mineures. Et Jean-Claude Muyambo, détenu depuis janvier 2015, suite à un conflit immobilier qui l'oppose à Emmanuel Stoupis, l'homme d'affaire grec également à l'origine de l'affaire de spoliation immobilère pour laquelle Moïse Katumbi a été condamné à trois ans de prison en juin 2016.
A ceux-là doivent s'ajouter, selon l'opposition, 83 personnes non libérées, alors qu'elles ont été amnistiées. Parmi elles, Firmin Yangambi, reconnu coupable de tentative d’organisation d’un mouvement insurrectionnel dans une affaire qui remonte à 2009. Rappelons que le gouvernement, de son côté, nie l'existence de prisonniers politiques.
Source:Rfi.fr
Y sont aussi une quizaine membres de l'Unafec, un parti d'opposition membre du G7. La plupart d'entre eux ont été arrêtés en avril 2016 lors d'une opération de la police au siège de leur parti. Les autres, affirme l'avocat, sont victimes de montages judiciaires.
Viols sur mineures
Parmi eux, il cite Eugène Diomi Ndongala, le président du parti Démocratie chrétienne, condamné en 2014 à dix ans de prison pour viols sur mineures. Et Jean-Claude Muyambo, détenu depuis janvier 2015, suite à un conflit immobilier qui l'oppose à Emmanuel Stoupis, l'homme d'affaire grec également à l'origine de l'affaire de spoliation immobilère pour laquelle Moïse Katumbi a été condamné à trois ans de prison en juin 2016.
A ceux-là doivent s'ajouter, selon l'opposition, 83 personnes non libérées, alors qu'elles ont été amnistiées. Parmi elles, Firmin Yangambi, reconnu coupable de tentative d’organisation d’un mouvement insurrectionnel dans une affaire qui remonte à 2009. Rappelons que le gouvernement, de son côté, nie l'existence de prisonniers politiques.
Source:Rfi.fr
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