Principales artères de la ville bloquées, pneus brûlés et jets de pierre sur les forces de l'ordre... jusqu'à la mi-journée, hier, mercredi 28 mars, la ville de Beni a été comme emportée par la colère de ses habitants.
Car, depuis 2014, les tueries se multiplient sans que les autorités ne parviennent à y mettre un terme. Gilbert Kambale, président de la société civile de Beni, parle d’un véritable drame humanitaire : « Il y a plus de 1 300 morts maintenant depuis le 15 octobre 2014. Il y a des moments où il y a des accalmies ; après ils reviennent et ils tuent. La population vraiment ne sait plus quoi faire. »
Depuis janvier, l'armée congolaise a lancé une nouvelle opération militaire contre les ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), mais les tueries se poursuivent. Toute la journée hier, les magasins sont restés fermés. L'armée, elle, patrouillait en ville, alors que les habitants se préparaient à une nouvelle nuit d'angoisse.
Car, depuis 2014, les tueries se multiplient sans que les autorités ne parviennent à y mettre un terme. Gilbert Kambale, président de la société civile de Beni, parle d’un véritable drame humanitaire : « Il y a plus de 1 300 morts maintenant depuis le 15 octobre 2014. Il y a des moments où il y a des accalmies ; après ils reviennent et ils tuent. La population vraiment ne sait plus quoi faire. »
Depuis janvier, l'armée congolaise a lancé une nouvelle opération militaire contre les ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), mais les tueries se poursuivent. Toute la journée hier, les magasins sont restés fermés. L'armée, elle, patrouillait en ville, alors que les habitants se préparaient à une nouvelle nuit d'angoisse.
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