La cérémonie d’ouverture a été présidée par le Général Salif Koné, Secrétaire Général du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants. Et pour la circonstance, il était accompagné par le chef d’Etat-Major général des Armées, le Général Didier Dakouo et, d’une forte délégation d’officiers supérieurs de notre pays, dont le médecin Colonel Major Boubacar Dembélé, Directeur central des Services de Santé des Armées.
Ce 1èr congrès de la Société Malienne de Médecine Militaire couplé aux 4èmes journées scientifiques de Médecine Militaire fut un espace d’échanges pour les médecins militaires du Mali avec leurs confrères de la sous-région. A savoir ceux : du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Niger.
De prime abord, le Directeur central des Services de Santé des Armées, le médecin Colonel Major Boubacar Dembélé a invité l’assistance à observer une minute de silence à la mémoire de tous leurs frères d’armes tombés sur le champ d’honneur en général, et particulièrement à la mémoire du Médecin Commandant Mamadou S Camara froidement assassiné à Gao en Mai 2016 et du médecin Lieutenant Abdoulaye Sagara tombé sous les balles des terroristes à Boulkessy avec son infirmier le Caporal Kary Diarra pendant qu’ils étaient en train de sauver des vies.
Pour lui, le choix du thème ‘’aptitude et inaptitude dans les armées et services’’ n’est pas fortuit. Car il est d’actualité à plus d’un titre. Et pour preuve dit-il, depuis 2015 la loi de programmation militaire est entrée en vigueur. Avec pour objectif de procéder à une réforme structurelle et profonde de notre outil de défense en le dotant de moyens humains et matériels pour faire face aux défis de l’heure.
Selon le médecin Colonel Major Boubacar Dembélé, le deuxième thème qui sera abordé a trait aux maladies cardiovasculaires, premières causes de mortalité dans le monde. Et pour lui les forces armées et de sécurité n’en sont pas épargnées et doivent s’approprier au changement de comportement.
Pour lui, avec la nouvelle loi d’orientation et de programmation militaire (LOPM), les services de santé des armées attendent avec impatience : la création d’un hôpital militaire, la reconstruction des infirmeries de garnison qui deviendront des centres médicaux de garnison et le rehaussement du niveau du plateau technique.
Quant au Secrétaire Général du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants, Gal Safif Koné, il a réaffirmé le soutien de son département à accompagner la Direction Centrale des Services de Santé des Armées dans l’accomplissement de ses missions qui consistent à sauver des vies.
La cérémonie d’ouverture a pris fin par une visite des stands érigés pour l’occasion par des partenaires de la médecine militaire dans notre pays.
Ce 1èr congrès de la Société Malienne de Médecine Militaire couplé aux 4èmes journées scientifiques de Médecine Militaire fut un espace d’échanges pour les médecins militaires du Mali avec leurs confrères de la sous-région. A savoir ceux : du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Niger.
De prime abord, le Directeur central des Services de Santé des Armées, le médecin Colonel Major Boubacar Dembélé a invité l’assistance à observer une minute de silence à la mémoire de tous leurs frères d’armes tombés sur le champ d’honneur en général, et particulièrement à la mémoire du Médecin Commandant Mamadou S Camara froidement assassiné à Gao en Mai 2016 et du médecin Lieutenant Abdoulaye Sagara tombé sous les balles des terroristes à Boulkessy avec son infirmier le Caporal Kary Diarra pendant qu’ils étaient en train de sauver des vies.
Pour lui, le choix du thème ‘’aptitude et inaptitude dans les armées et services’’ n’est pas fortuit. Car il est d’actualité à plus d’un titre. Et pour preuve dit-il, depuis 2015 la loi de programmation militaire est entrée en vigueur. Avec pour objectif de procéder à une réforme structurelle et profonde de notre outil de défense en le dotant de moyens humains et matériels pour faire face aux défis de l’heure.
Selon le médecin Colonel Major Boubacar Dembélé, le deuxième thème qui sera abordé a trait aux maladies cardiovasculaires, premières causes de mortalité dans le monde. Et pour lui les forces armées et de sécurité n’en sont pas épargnées et doivent s’approprier au changement de comportement.
Pour lui, avec la nouvelle loi d’orientation et de programmation militaire (LOPM), les services de santé des armées attendent avec impatience : la création d’un hôpital militaire, la reconstruction des infirmeries de garnison qui deviendront des centres médicaux de garnison et le rehaussement du niveau du plateau technique.
Quant au Secrétaire Général du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants, Gal Safif Koné, il a réaffirmé le soutien de son département à accompagner la Direction Centrale des Services de Santé des Armées dans l’accomplissement de ses missions qui consistent à sauver des vies.
La cérémonie d’ouverture a pris fin par une visite des stands érigés pour l’occasion par des partenaires de la médecine militaire dans notre pays.
Autres articles
-
En Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo officiellement investi à la présidentielle par son parti
-
Présidentielle en Mauritanie: l’ex-chef de l’État Ould Abdel Aziz, condamné en 2023, a déposé sa candidature
-
Madagascar: l'Église catholique dénonce la loi autorisant la castration des pédophiles
-
Mali: «l'armée ne doit pas justifier ses exactions par celles des terroristes», selon Amnesty
-
RDC: le principe de la révision de la loi de finances 2024 est acté