«Nous avons voulu faire quelque chose de spécial, c’est-à-dire l’utiliser au niveau du ministère pour les partenaires techniques, mais ne pas s’arrêterqu’au niveau du district». Ces propos sont du ministre de la Santé et de l’Action sociale hier, lors du lancement de l’entrepôt national des données sanitaires (Dhis2).
Se prononçant sur l’apport de cette nouvelle plateforme, Pr Eva Mary Coll Seck fait savoir qu’elle pourra permettre de prendre des décisions idoines et de proposer des stratégies sur des problèmes soulevés.
Et de préciser : «Quand nous aurons une idée de la pathologie qui se passe dans une région ou un district, cela permet d’aller plus vite dans le diagnostic». Quid de la confidentialité du Dhis2, Pr Seck garantit qu’ «il y a un système de protection pour toutes les personnes qui vont avoir accès à cette plateforme. Ce sont des personnes accréditées qui auront un mot de passe et qui auront seules la possibilité de lire et de savoir ce qui se passe. Ces données seront au niveau du pays».
Se prononçant sur l’apport de cette nouvelle plateforme, Pr Eva Mary Coll Seck fait savoir qu’elle pourra permettre de prendre des décisions idoines et de proposer des stratégies sur des problèmes soulevés.
Et de préciser : «Quand nous aurons une idée de la pathologie qui se passe dans une région ou un district, cela permet d’aller plus vite dans le diagnostic». Quid de la confidentialité du Dhis2, Pr Seck garantit qu’ «il y a un système de protection pour toutes les personnes qui vont avoir accès à cette plateforme. Ce sont des personnes accréditées qui auront un mot de passe et qui auront seules la possibilité de lire et de savoir ce qui se passe. Ces données seront au niveau du pays».
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