A moins de quinze (15) jours de la célébration de l'Aïd El Kébir ou Tabaski, les lieux de vente du mouton, sont presque déserts. il n’y a ni clients, ni beaucoup de bêtes. Pis, dans ces points, les vendeurs proposent les «kharou Yarr» ou moutons élevés dans les maisons et qui coûtent très chers.
«Ce qu’on est en train de voir, n’est pas rassurant», se plaint El Hadji Malick Niang. Vendeur de moutons depuis dix (10) ans et établi au niveau des allées liberté 6, ce dernier d'avertir: «Cette année, il n’y aura pas beaucoup de moutons». Se référant à Kahone, ville sise dans le département de Kaolack, où «d'habitude étaient exposés les moutons venus de la Sous-région, est pratiquement vide».
Soutenant son collègue, Omaro Sall donne les raisons de cette pénurie de moutons. «Cette situation s’explique par la cherté de l’aliment de bétail et la mauvaise pluviométrie, poussent les éleveurs à la domestication des animaux», indique-t-il en soutenant que «le prix en milieu rural est presque le même que dans la capitale, sans oublier le transport et la "mesquinerie" dans les postes de contrôle et les tentes louées qui sont trop cher».
Même son de cloche pour Ousmane Diouf, trouvé au rond point liberté. «Les moutons seront plus chers cette année que l’année dernière. Les prix varient entre 110 000 et 800 000 F CFA». Et d’ajouter: «Il n’y a ni subvention, ni aide venant de l’Etat. L’année passée, l’Etat nous distribuer gratuitement des citernes d’eau mais jusqu’ici, nous n’avons rien vu».
La particularité de la Tabaski est l’immolation des béliers. Une recommandation pour les fidèles musulmans ayant les moyens de s’en acquérir. Une manière de commémorer le sacrifice effectué par Abraham. Les béliers, ensuite les brebis, sont les bêtes recommandées en premier lieu.
«Ce qu’on est en train de voir, n’est pas rassurant», se plaint El Hadji Malick Niang. Vendeur de moutons depuis dix (10) ans et établi au niveau des allées liberté 6, ce dernier d'avertir: «Cette année, il n’y aura pas beaucoup de moutons». Se référant à Kahone, ville sise dans le département de Kaolack, où «d'habitude étaient exposés les moutons venus de la Sous-région, est pratiquement vide».
Soutenant son collègue, Omaro Sall donne les raisons de cette pénurie de moutons. «Cette situation s’explique par la cherté de l’aliment de bétail et la mauvaise pluviométrie, poussent les éleveurs à la domestication des animaux», indique-t-il en soutenant que «le prix en milieu rural est presque le même que dans la capitale, sans oublier le transport et la "mesquinerie" dans les postes de contrôle et les tentes louées qui sont trop cher».
Même son de cloche pour Ousmane Diouf, trouvé au rond point liberté. «Les moutons seront plus chers cette année que l’année dernière. Les prix varient entre 110 000 et 800 000 F CFA». Et d’ajouter: «Il n’y a ni subvention, ni aide venant de l’Etat. L’année passée, l’Etat nous distribuer gratuitement des citernes d’eau mais jusqu’ici, nous n’avons rien vu».
La particularité de la Tabaski est l’immolation des béliers. Une recommandation pour les fidèles musulmans ayant les moyens de s’en acquérir. Une manière de commémorer le sacrifice effectué par Abraham. Les béliers, ensuite les brebis, sont les bêtes recommandées en premier lieu.
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