« Je trouve très déplorable dans notre pays que l'assassinat des opposants devienne monnaie courante. Il est le deuxième de mon parti à être assassiné en deux ans [...] Ca me choque parce que dans d'autres pays, si quelqu'un est tué, surtout s'il est membre de l'opposition, tous les pays demandent des explications au gouvernement. Mais au Rwanda, on tue des gens, le gouvernement lui-même ne dit rien, les autres pays ne disent rien, donc on dirait que le Rwanda est un pays à part et que personne ne doit dire quoi que ce soit. »
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