Avec notre correspondante à New York, Marie Bourreau
Les deux hommes avaient déjà posé les jalons de cette collaboration renforcée en janvier dernier à Addis-Abeba, en Ethiopie. Ce 18 avril à New York, Antonio Guterres et Moussa Faki Mahamat sont rentrés dans le vif du sujet. Mais le président de la commission de l'UA est conscient des défis.
« Le moment est venu de faire une évaluation critique pour voir les faiblesses et les forces et surtout travailler ensemble pour réussir au mieux ces opérations de maintien de la paix sur le continent africain », a déclaré Moussa Faki Mahamat.
« Nous avons également pris l'engagement de travailler ensemble notamment sur les questions de développement, de la jeunesse et des femmes, des questions de gouvernance, les questions des droits de l'homme et de la gouvernance électorale, a-t-il poursuivi. Ce sont des sujets sur lesquels nous avons une parfaite convergence de vue. »
Financements toujours en suspens
Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies, veut s'appuyer sur la complémentarité des deux organisations. « L'ONU ne fait pas de contre-terrorisme. Les Nations unies n'imposent pas la paix. Le renforcement des capacités de l'Union africaine en équipement, en formation et de ces financements prévisibles pour ses opérations, est donc absolument crucial pour la communauté internationale. »
Reste maintenant à régler la question des financements. L'Union africaine s'est engagée à financer à hauteur de 25 % ses opérations de maintien de la paix. Mais les discussions sont toujours en cours pour que l'ONU finance les 75 % restants.
Les deux hommes avaient déjà posé les jalons de cette collaboration renforcée en janvier dernier à Addis-Abeba, en Ethiopie. Ce 18 avril à New York, Antonio Guterres et Moussa Faki Mahamat sont rentrés dans le vif du sujet. Mais le président de la commission de l'UA est conscient des défis.
« Le moment est venu de faire une évaluation critique pour voir les faiblesses et les forces et surtout travailler ensemble pour réussir au mieux ces opérations de maintien de la paix sur le continent africain », a déclaré Moussa Faki Mahamat.
« Nous avons également pris l'engagement de travailler ensemble notamment sur les questions de développement, de la jeunesse et des femmes, des questions de gouvernance, les questions des droits de l'homme et de la gouvernance électorale, a-t-il poursuivi. Ce sont des sujets sur lesquels nous avons une parfaite convergence de vue. »
Financements toujours en suspens
Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies, veut s'appuyer sur la complémentarité des deux organisations. « L'ONU ne fait pas de contre-terrorisme. Les Nations unies n'imposent pas la paix. Le renforcement des capacités de l'Union africaine en équipement, en formation et de ces financements prévisibles pour ses opérations, est donc absolument crucial pour la communauté internationale. »
Reste maintenant à régler la question des financements. L'Union africaine s'est engagée à financer à hauteur de 25 % ses opérations de maintien de la paix. Mais les discussions sont toujours en cours pour que l'ONU finance les 75 % restants.
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