Après quelques mois d’accalmie, les malfaiteurs ont repris du service dans le sud du pays. Ce jeudi 14 mai aux alentours de sept heures quarante cinq minutes, des hommes armés ont braqué quatre véhicules à hauteur du village de Santhiou Sénou sur la route nationale N°4 à quelques cinq kilomètres de Sénoba, localité frontalière à la République de Gambie.
Il s’agit de deux taxis brousse communément appelés sept places en provenance de Ziguinchor, un car de transport en commun des voyageurs de type «Ndiaga Ndiaye» et une voiture d’un particulier de marque Pajéro. L’armée est intervenue et il y a eu des échanges de coups de feu avec les assaillants mais sans aucun blessé de part et d’autre a-t-on également appris de sources concordantes.
Ces mêmes sources rapportent que les passagers sont dépouillés de tous leurs biens, pire, ils ont été dépossédés de leurs voitures emportées par ces coupeurs de route dont on ignore toujours le nombre et leur identité.
A noter que c’est le deuxième braquage d’envergure sur cet axe depuis la fermeture des postes militaires dans cette zone surtout celui de Saré Alkaly toujours sur la transgambienne.
Le précédent braquage remonte à trois jours avant la fête de l’Eid El Kebir communément appelée Tabaski. Ce jour là, une cinquantaine de voiture y avaient été braquée par « un nombre impressionnant », dit-on de brigands à la recherche de gain facile.
Cette énième attaque intervient dans un contexte de célébration multiple de fêtes religieuses dénommées «Gamou» dans cette partie sud du Sénégal. Et c’est ce jour ci aussi que Karantaba, l’un des plus grands foyers religieux de la Casamance sacrifie à cette commémoration.
Dans leur retraite également, les assaillants ont pillé des boutiques au village religieux de Boudouck beaucoup plus à l’intérieur de cet arrondissement de Bogal dans le nord de la région de Sédhiou.
De nombreux commentateurs font savoir que « ces malfaiteurs cherchent à s’enrichir à la sueur des pèlerins pensant qu’ils se déplacent avec beaucoup de biens prévus pour le guide religieux d’accueil ». Certains soutiennent que les cantonnements fermés doivent être ré ouverts pour renforcer la sécurité des populations. En son temps, faut-il le souligner, les autorités de l’armée avaient réagi à ces suggestions faisant comprendre que « le retrait n’était qu’une stratégie mais le contrôle était toujours de rigueur ».
Il s’agit de deux taxis brousse communément appelés sept places en provenance de Ziguinchor, un car de transport en commun des voyageurs de type «Ndiaga Ndiaye» et une voiture d’un particulier de marque Pajéro. L’armée est intervenue et il y a eu des échanges de coups de feu avec les assaillants mais sans aucun blessé de part et d’autre a-t-on également appris de sources concordantes.
Ces mêmes sources rapportent que les passagers sont dépouillés de tous leurs biens, pire, ils ont été dépossédés de leurs voitures emportées par ces coupeurs de route dont on ignore toujours le nombre et leur identité.
A noter que c’est le deuxième braquage d’envergure sur cet axe depuis la fermeture des postes militaires dans cette zone surtout celui de Saré Alkaly toujours sur la transgambienne.
Le précédent braquage remonte à trois jours avant la fête de l’Eid El Kebir communément appelée Tabaski. Ce jour là, une cinquantaine de voiture y avaient été braquée par « un nombre impressionnant », dit-on de brigands à la recherche de gain facile.
Cette énième attaque intervient dans un contexte de célébration multiple de fêtes religieuses dénommées «Gamou» dans cette partie sud du Sénégal. Et c’est ce jour ci aussi que Karantaba, l’un des plus grands foyers religieux de la Casamance sacrifie à cette commémoration.
Dans leur retraite également, les assaillants ont pillé des boutiques au village religieux de Boudouck beaucoup plus à l’intérieur de cet arrondissement de Bogal dans le nord de la région de Sédhiou.
De nombreux commentateurs font savoir que « ces malfaiteurs cherchent à s’enrichir à la sueur des pèlerins pensant qu’ils se déplacent avec beaucoup de biens prévus pour le guide religieux d’accueil ». Certains soutiennent que les cantonnements fermés doivent être ré ouverts pour renforcer la sécurité des populations. En son temps, faut-il le souligner, les autorités de l’armée avaient réagi à ces suggestions faisant comprendre que « le retrait n’était qu’une stratégie mais le contrôle était toujours de rigueur ».
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