Mademba Sock entouré de policiers (photo:picasaweb.google.com)
La fête du travail risque d’avoir une note particulière cette année. Les syndicalistes ont décidé de boycotter la remise du cahier de doléances. Ils veulent ainsi fustiger «l’arrogance et le mépris total de l’Etat» qui selon eux ne respecte pas ses engagements.
Pour la première fois depuis huit ans les différents syndicats ont décidé d’oublier leurs divergences et parler d’une seule voix. A cet effet, ils comptent organiser un défilé unitaire le 1er mai, jour de la fête du travail, en empruntant le même itinéraire.
Faisant une évaluation de la situation sociale des travailleurs, le secrétaire général de l’Union nationale des syndicats autonome du Sénégal (UNSAS), Mademba Sock a indiqué que «des acquis sociaux de la classe ouvrière comme la liberté syndicale et le droit de grève sont parfois remis en cause dans certaines entreprises».
Les syndicalistes ont révélé qu’ils vont déposer un préavis de grève pour exiger le respect des engagements pris par le gouvernement dans le cadre des négociations tripartites de 2008, la finalisation du protocole d’accord et le règlement définitif des crises récurrentes dans certains secteurs d’activités afin de garantir la stabilité sociale du pays.
Pour la première fois depuis huit ans les différents syndicats ont décidé d’oublier leurs divergences et parler d’une seule voix. A cet effet, ils comptent organiser un défilé unitaire le 1er mai, jour de la fête du travail, en empruntant le même itinéraire.
Faisant une évaluation de la situation sociale des travailleurs, le secrétaire général de l’Union nationale des syndicats autonome du Sénégal (UNSAS), Mademba Sock a indiqué que «des acquis sociaux de la classe ouvrière comme la liberté syndicale et le droit de grève sont parfois remis en cause dans certaines entreprises».
Les syndicalistes ont révélé qu’ils vont déposer un préavis de grève pour exiger le respect des engagements pris par le gouvernement dans le cadre des négociations tripartites de 2008, la finalisation du protocole d’accord et le règlement définitif des crises récurrentes dans certains secteurs d’activités afin de garantir la stabilité sociale du pays.
Autres articles
-
« L’avenir de l’agriculture au Sénégal dépend de sa relève générationnelle », Yoro Idrissa Thioye
-
Cession des engrais minéraux subventionnés : Mabouba Diagne fixe ses prix
-
Conseil interministériel pour la gestion des inondations : Keur Massar se met déjà à pied d'eouvre
-
Saraya : destruction de sites d'orpaillage clandestins le long de la Falémé
-
« Si on ne fait pas attention, le Sénégal risque de ne pas pouvoir se nourrir en 2050 », Dr Ibrahima Hathie