Ces 18 territoires insulaires se donnent quatre ans pour améliorer leur autonomie énergétique grâce aux énergies durables et préserver leur environnement.
« Gorée s’est toujours voulue être un modèle de propreté et surtout un laboratoire, explique Augustin Senghor, le maire de Gorée, une île au large de Dakar actuellement dépendante du continent pour sa fourniture en eau et en électricité. Je pense que l’avantage des petites îles, c’est qu’elles sont maîtrisées au sens concentrique du terme. Si nous arrivons à des résultats probants, on pourrait transposer ces expériences là sur le continent dans d’autres localités de plus grande envergure ».
Pour obtenir le label « petite île durable » d'ici 2021, ces territoires seront accompagnés et évalué par le programme « Small island organisation », Smilo. « Il s’agit d’un action commune avec des îles éloignées qui fonctionnent comme un archipel mondial qui cherche à améliorer des pratiques de vie par rapport à l’environnement », détaille Maxime Prodromidès, le président de l’organisation.
Les petits territoires insulaires en avance partageront leur expérience avec les autres îles membres du réseau. « Vous savez, les îliens, ils sont de nature à être débrouillards puisqu’ils sont sujets à des contraintes multiples, et c’est pour cela que nous disons au monde : "nous sommes les laboratoires et ce que nous pouvons réaliser, vous pourrez aussi le faire sur le continent" », affirme Camille Dressler, une habitante de l'ile d'Eigg en Ecosse, territoire aujourd'hui parvenu à l'autonomie énergétique grâce au renouvelable.
Pour ces îles si fragiles face aux changements climatiques, l’objectif est désormais d'être des modèles mais aussi d'assurer tout simplement leur survie.
« Gorée s’est toujours voulue être un modèle de propreté et surtout un laboratoire, explique Augustin Senghor, le maire de Gorée, une île au large de Dakar actuellement dépendante du continent pour sa fourniture en eau et en électricité. Je pense que l’avantage des petites îles, c’est qu’elles sont maîtrisées au sens concentrique du terme. Si nous arrivons à des résultats probants, on pourrait transposer ces expériences là sur le continent dans d’autres localités de plus grande envergure ».
Pour obtenir le label « petite île durable » d'ici 2021, ces territoires seront accompagnés et évalué par le programme « Small island organisation », Smilo. « Il s’agit d’un action commune avec des îles éloignées qui fonctionnent comme un archipel mondial qui cherche à améliorer des pratiques de vie par rapport à l’environnement », détaille Maxime Prodromidès, le président de l’organisation.
Les petits territoires insulaires en avance partageront leur expérience avec les autres îles membres du réseau. « Vous savez, les îliens, ils sont de nature à être débrouillards puisqu’ils sont sujets à des contraintes multiples, et c’est pour cela que nous disons au monde : "nous sommes les laboratoires et ce que nous pouvons réaliser, vous pourrez aussi le faire sur le continent" », affirme Camille Dressler, une habitante de l'ile d'Eigg en Ecosse, territoire aujourd'hui parvenu à l'autonomie énergétique grâce au renouvelable.
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