«Les Sénégalais sont refoulés au Maroc et en Mauritanie pour des problèmes liés à la Carte nationale d’identité qui arrivent à expiration », a-t-il déclaré. Et d’ajouter : «J’étais en contact avec les migrants sénégalais au Maroc, mais il y a un rythme qui n’est pas du tout satisfaisant par rapport aux inscriptions. Les cafouillages sur les Cartes nationales d’identité inquiètent beaucoup de Sénégalais».
Et cette situations est à l’origine de beaucoup de désagréments en Mauritanie où «on ne regarde que la date d’expiration qui est sur la Carte d’identité ».
Mansour Ndiaye de marteler que : «C’est un fait sans précédent. En aucun moment de la vie de notre Nation, aucun gouvernement n’a failli à son devoir de garantir aux Sénégalais leur propre identité ».
Le rythme des inscriptions sur les listes électorales doit être accéléré parce que toute la jeunesse sénégalaise est aujourd’hui portée vers la politique vers le développement de leur pays. Et ils l’exprimer de la façon la plus correcte possible ».
S’agissant des inscriptions sur les listes électorales, le leader politique fustige la lenteur avec laquelle elles sont menées, d’où son exigence à l’Etat de mettre assez de commissions pour permettre aux nombreux Sénégalais d’avoir une chance de voter lors des prochaines élections législatives.
Et cette situations est à l’origine de beaucoup de désagréments en Mauritanie où «on ne regarde que la date d’expiration qui est sur la Carte d’identité ».
Mansour Ndiaye de marteler que : «C’est un fait sans précédent. En aucun moment de la vie de notre Nation, aucun gouvernement n’a failli à son devoir de garantir aux Sénégalais leur propre identité ».
Le rythme des inscriptions sur les listes électorales doit être accéléré parce que toute la jeunesse sénégalaise est aujourd’hui portée vers la politique vers le développement de leur pays. Et ils l’exprimer de la façon la plus correcte possible ».
S’agissant des inscriptions sur les listes électorales, le leader politique fustige la lenteur avec laquelle elles sont menées, d’où son exigence à l’Etat de mettre assez de commissions pour permettre aux nombreux Sénégalais d’avoir une chance de voter lors des prochaines élections législatives.
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