Etre charretier pendant la période du Grand Magal de Touba génère des revenus considérables. D’où la transformation de certaines rues de la ville sainte en hippodrome avant, pendant et après cet évènement : «Je transporte des personnes pendant la période du Magal. Ce qui me permet d’avoir de quoi subvenir à mes besoins et ceux de ma famille pendant un certain temps», confie un charretier sous couvert de l’anonymat.
Mais le charretier occasionnel n’est pas le seul à avoir embrassé ce métier pendant cette période. En effet, «Père Dame », un vieux à qui les jeunes charretiers appellent ainsi, révèle que cela fait déjà un bon bout de temps qu’il se transforme en conducteur de charrette durant les jours du Magal. C’est une façon comme une autre, selon lui, de gagner de qui nourrir sa famille, surtout qu’il peut réussir à engranger d’énormes sommes d’argent.
Ce métier qui profite à beaucoup de monde car générant des revenus n’est pas très bien perçu par certaines personnes qui pourtant l’empruntent pendant l’évènement : «Je les prends car je ne trouve pas de solutions de rechange », déclare Ablaye, un client trouvé au garage de Darou Khoudoss. Et de poursuivre : «Leur indispensabilité durant l’évènement découle du fait que «les cars sont lents et les taxis chers. Et en plus, les charrettes sont capables de vous déposer dans des zones où les voitures sont incapables d’aller. Néanmoins, elles sont à l’origine de beaucoup d’accidents», déplore-t-il.
Ce métier, qu’il soit apprécié ou non, profite à beaucoup de monde. D’autant plus qu’un charretier peut gagner, durant la période du Magal, entre 30 000 F Cfa et 50 000 F Cfa.
Mais le charretier occasionnel n’est pas le seul à avoir embrassé ce métier pendant cette période. En effet, «Père Dame », un vieux à qui les jeunes charretiers appellent ainsi, révèle que cela fait déjà un bon bout de temps qu’il se transforme en conducteur de charrette durant les jours du Magal. C’est une façon comme une autre, selon lui, de gagner de qui nourrir sa famille, surtout qu’il peut réussir à engranger d’énormes sommes d’argent.
Ce métier qui profite à beaucoup de monde car générant des revenus n’est pas très bien perçu par certaines personnes qui pourtant l’empruntent pendant l’évènement : «Je les prends car je ne trouve pas de solutions de rechange », déclare Ablaye, un client trouvé au garage de Darou Khoudoss. Et de poursuivre : «Leur indispensabilité durant l’évènement découle du fait que «les cars sont lents et les taxis chers. Et en plus, les charrettes sont capables de vous déposer dans des zones où les voitures sont incapables d’aller. Néanmoins, elles sont à l’origine de beaucoup d’accidents», déplore-t-il.
Ce métier, qu’il soit apprécié ou non, profite à beaucoup de monde. D’autant plus qu’un charretier peut gagner, durant la période du Magal, entre 30 000 F Cfa et 50 000 F Cfa.
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