En cette période de Magal, vendeurs de carreaux et carreleurs se frottent les mains. Et pour cause, les nombreux bâtiments en construction, ou encore des maisons en réfection qui jonchent les quartiers de la capitale du Mouridisme.
Ce secteur, renseigne un vendeur dont le magasin se trouve sur la Corniche (Forage Baye Lahad du nom du 3e Khalife de Serigne Touba), est en plein essor surtout en cette période de Magal : «Je suis nouveaux dans ce métier, car je n’y ai fait que 4 ans. Mais depuis, ce que je constate, c’est qu’à l’approche du Grand Magal, je peux vendre, en un mois, ce que je vendais en une année. Ce secteur marche à Touba, mais à l’approche de ce grand évènement, c’est le jackpot pour nous», révèle-t-il à l’équipe de Pressafrik.
Un autre de ses «collègues» rencontrés du côté de Darou Khoudoss, quartier où se trouve la Grande Mosquée, est du même avis. Mais la différence, selon lui, est que dans ce quartier, ce sont les maisons en réfections qui sont de mise. Mais le résultat est le même puisque les propriétaires changent les carreaux existants».
Dans ce «partage du gâteau», les carreleurs se font aussi une part belle. En effet, selon Modou qui s’adonne à cette profession, être carreleur à Touba est plus avantageux qu’à Dakar. Et ce, parce que les expatriés réfectionnent constamment, ou construisent de nouvelles maisons. Et la réfection se fait pratiquement chaque année à l’approche du Magal», affirme-t-il.
Les bénéfices tirés par certains pendant cette période du Magal de Touba, confirment ceux qui pensent que le statut de Touba doit être revu, car, hormis son caractère religieux la ville Sainte de Touba constitue un levier économique important, lui conférant le place de deuxième ville du Sénégal après Dakar.
Ce secteur, renseigne un vendeur dont le magasin se trouve sur la Corniche (Forage Baye Lahad du nom du 3e Khalife de Serigne Touba), est en plein essor surtout en cette période de Magal : «Je suis nouveaux dans ce métier, car je n’y ai fait que 4 ans. Mais depuis, ce que je constate, c’est qu’à l’approche du Grand Magal, je peux vendre, en un mois, ce que je vendais en une année. Ce secteur marche à Touba, mais à l’approche de ce grand évènement, c’est le jackpot pour nous», révèle-t-il à l’équipe de Pressafrik.
Un autre de ses «collègues» rencontrés du côté de Darou Khoudoss, quartier où se trouve la Grande Mosquée, est du même avis. Mais la différence, selon lui, est que dans ce quartier, ce sont les maisons en réfections qui sont de mise. Mais le résultat est le même puisque les propriétaires changent les carreaux existants».
Dans ce «partage du gâteau», les carreleurs se font aussi une part belle. En effet, selon Modou qui s’adonne à cette profession, être carreleur à Touba est plus avantageux qu’à Dakar. Et ce, parce que les expatriés réfectionnent constamment, ou construisent de nouvelles maisons. Et la réfection se fait pratiquement chaque année à l’approche du Magal», affirme-t-il.
Les bénéfices tirés par certains pendant cette période du Magal de Touba, confirment ceux qui pensent que le statut de Touba doit être revu, car, hormis son caractère religieux la ville Sainte de Touba constitue un levier économique important, lui conférant le place de deuxième ville du Sénégal après Dakar.
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