En début de semaine, le régime syrien avait fait état du "massacre" de 200 civils dans une localité proche de Jisr al-Choughour. Après quatre jours de combats, Jisr al-Choughour , Proche de la frontière turque et à la périphérie de la province de Lattaquié, fief de Bachar Al Assad, a été prise le 25 avril par le Front Al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda et ses alliés.
Depuis samedi, près de 150 soldats et quelques civils sont assiégés dans un bâtiment de l'hôpital par des rebelles, selon Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Lundi, le ministère syrien des Affaires Etrangères avait affirmé que "des terroristes ont massacré près de 200 civils, principalement des femmes et des enfants à Ichtabraq, près de Jisr al-Choughour". Ichtabraq est une localité à majorité alaouite, une branche du chiisme, communauté dont est issu le président Bachar al-Assad.
Le régime syrien a perdu beaucoup de terrain ces dernières semaines. Selon des analystes, les parrains régionaux de la rébellion que sont la Turquie, l'Arabie saoudite et le Qatar ont décidé de faire fi de leurs rivalités pour donner plus d'armes aux rebelles, afin de stopper l'avancée du régime syrien et contenir l'influence de leur rival régional l'Iran, un des principaux alliés de Bachar Al Assad. Bien qu'ils soient tous deux d'idéologie jihadiste, le Front Al-Nosra et l'Etat islamique sont rivaux sur le terrain syrien.
Le conflit a également fait des victimes à Alep dans le nord, où selon les médias d'Etat, sept civils y ont été tués et 35 autres blessés par des obus tirés par les rebelles sur le centre-ville.
Depuis samedi, près de 150 soldats et quelques civils sont assiégés dans un bâtiment de l'hôpital par des rebelles, selon Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Lundi, le ministère syrien des Affaires Etrangères avait affirmé que "des terroristes ont massacré près de 200 civils, principalement des femmes et des enfants à Ichtabraq, près de Jisr al-Choughour". Ichtabraq est une localité à majorité alaouite, une branche du chiisme, communauté dont est issu le président Bachar al-Assad.
Le régime syrien a perdu beaucoup de terrain ces dernières semaines. Selon des analystes, les parrains régionaux de la rébellion que sont la Turquie, l'Arabie saoudite et le Qatar ont décidé de faire fi de leurs rivalités pour donner plus d'armes aux rebelles, afin de stopper l'avancée du régime syrien et contenir l'influence de leur rival régional l'Iran, un des principaux alliés de Bachar Al Assad. Bien qu'ils soient tous deux d'idéologie jihadiste, le Front Al-Nosra et l'Etat islamique sont rivaux sur le terrain syrien.
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