La tabaski sera célébrée dans quelques semaines, mais les pères de famille ne sont pas enthousiastes car une pénurie de moutons s’annonce. « Avec le déficit pluviométrique enregistré cette année, c’est évident qu’il n’y aura pas assez de moutons cette année. C’est évident et ce sera pire que l’année dernière, surtout avec la fièvre Ebola qui fait des ravages dans la sous- régions » lance Sémou Diouf, un sexagénaire trouvé à la gare ferroviaire. Ce dernier de poursuivre «L’année dernière j’ai vu des chefs de famille inquiets et certains même ont versé des larmes, parce que certes ils avaient de l’argent, mais ils n’ont même pas vu l’ombre d’un mouton ou même d’une brebis ». Cependant à "Jaaxaay", la mairie appuie sa population démunie, essentiellement composé d’anciens sinistrés des inondations de la banlieue. Ainsi certains clients venus déjà s’enquérir de la situation mais c’est la désolation totale. Pour de petits moutons visiblement peu nourris, les prix varient entre 66.000 F CFA et 80.000 F CFA, et pour un bon bélier il faut décaisser entre 125.000 F CFA et 150.000 F CFA.
Par ailleurs, livre "l'Observateur", dans les régions le problème de la Cherté est beaucoup plus mis en exergue. Si dans la région de Louga les éleveurs s’inquiètent par rapport à l’approvisionnement, ceux de Ziguinchor rassurent que la région sera bien approvisionnée, sauf que la garantie n’est pas accorder par rapport au prix. Ainsi les éleveurs appellent l’Etat à les financer. Car avec l’installation tardive de la pluie, ils ont perdus beaucoup de leurs bétails. C’est le même cas à Linguère ou les éleveurs informent qu’ils ont déjà contracté des dettes auprès des institutions financières et qu’il faut impérativement rembourser à l’issue des activités dites « opérations Tabaski ». Et cela va impérativement contribuer à l’augmentation des prix du mouton. Toutefois les éleveurs avertis que les moutons se feront désirés et ne seront pas accessible à toutes les bourses.
Par ailleurs, livre "l'Observateur", dans les régions le problème de la Cherté est beaucoup plus mis en exergue. Si dans la région de Louga les éleveurs s’inquiètent par rapport à l’approvisionnement, ceux de Ziguinchor rassurent que la région sera bien approvisionnée, sauf que la garantie n’est pas accorder par rapport au prix. Ainsi les éleveurs appellent l’Etat à les financer. Car avec l’installation tardive de la pluie, ils ont perdus beaucoup de leurs bétails. C’est le même cas à Linguère ou les éleveurs informent qu’ils ont déjà contracté des dettes auprès des institutions financières et qu’il faut impérativement rembourser à l’issue des activités dites « opérations Tabaski ». Et cela va impérativement contribuer à l’augmentation des prix du mouton. Toutefois les éleveurs avertis que les moutons se feront désirés et ne seront pas accessible à toutes les bourses.
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