L’arrestation dont a été victime une partie de l’opposition qui a tenté d’organiser un sit-in hier mardi, devant le ministère de l’Intérieur est illégale. C’est la conviction de Thierno Bocoum. Le leader d’Agir est même convaincu que cette action avait été décidée bien avant le début de la tentative de rassemblement.
«Beaucoup de leaders ont été violentés, le mot d’ordre serait de prendre les leaders et de les emprisonner dès leur descente, et on a vu qu’ils se sont empressés de nous empêcher, ne serait-ce que de rejoindre les uns et les autres. Et on s’est rendu compte qu’il y avait une volonté manifeste de tuer la manifestation dans l’œuf, de faire en sorte que les leaders ne puissent pas s’exprimer», annonce-t-il sur Sud Fm.
Cependant, précise-t-il, «nous n’avons pas de problème avec la police. Ce qui est inadmissible, c’est qu’on utilise les forces de défense et de sécurité pour s’attaquer à des adversaires politiques pour enfreindre la loi parce qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’enfreindre la loi en interdisant systématiquement les manifestions. C’est ce que nous dénonçons».
L’ancien député se dit d’autant plus ulcéré qu’il n’y a aucune trace de leur détention puisqu’ils n’ont signé aucun PV et n’ont jamais été entendus par les limiers.
«Beaucoup de leaders ont été violentés, le mot d’ordre serait de prendre les leaders et de les emprisonner dès leur descente, et on a vu qu’ils se sont empressés de nous empêcher, ne serait-ce que de rejoindre les uns et les autres. Et on s’est rendu compte qu’il y avait une volonté manifeste de tuer la manifestation dans l’œuf, de faire en sorte que les leaders ne puissent pas s’exprimer», annonce-t-il sur Sud Fm.
Cependant, précise-t-il, «nous n’avons pas de problème avec la police. Ce qui est inadmissible, c’est qu’on utilise les forces de défense et de sécurité pour s’attaquer à des adversaires politiques pour enfreindre la loi parce qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’enfreindre la loi en interdisant systématiquement les manifestions. C’est ce que nous dénonçons».
L’ancien député se dit d’autant plus ulcéré qu’il n’y a aucune trace de leur détention puisqu’ils n’ont signé aucun PV et n’ont jamais été entendus par les limiers.
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