Ce sont six lieux de culte dans différents quartiers de Lomé qui sont cette fois suspendus et la Direction des cultes précise que c’est suite à des plaintes des riverains.
« Je dois dire qu’ils font des rencontres nocturnes de sept jours au cours desquelles ils organisent tout un vacarme fait de musique et de séances de prière en pleine nuit. Franchement, ce sont des choses qui empêchent certains d’entre nous de dormir dans le quartier », témoigne un riverain.
Il y a reste plus d’une centaine de plaintes encore en examen. Avant la suspension, la Direction des cultes engage toute une procédure de conciliation. Lorsqu’elle n’aboutit pas, selon le chef d’escadron Bédiani Béléi, l’objectif est de protéger les cultes et accorder une liberté et une tranquillité aux riverains
Quinze lieux de culte sont à ce jour suspendus et les sensibilisations se poursuivent avec les pasteurs comme ce fut le cas jeudi 13 juin au ministère de l’Administration territoriale. « Désormais, la gestion des sons est très importante et pour ce qui est de la suspension, oui, il y a des débordements mais des dispositions ont été prises », explique le révérend pasteur Eli Ndjekornonde, le secrétaire général du Conseil chrétien du Togo.
Parmi les églises incriminées, celles qui ont collaboré ont été félicitées, celles qui officient dans l’illégalité et ont été suspendues ne pourront plus être à nouveau ouvertes et sur les 8 500 églises que compte l’ensemble du territoire, beaucoup pourront voir leurs portes fermées en raison des nuisances sonores.
« Je dois dire qu’ils font des rencontres nocturnes de sept jours au cours desquelles ils organisent tout un vacarme fait de musique et de séances de prière en pleine nuit. Franchement, ce sont des choses qui empêchent certains d’entre nous de dormir dans le quartier », témoigne un riverain.
Il y a reste plus d’une centaine de plaintes encore en examen. Avant la suspension, la Direction des cultes engage toute une procédure de conciliation. Lorsqu’elle n’aboutit pas, selon le chef d’escadron Bédiani Béléi, l’objectif est de protéger les cultes et accorder une liberté et une tranquillité aux riverains
Quinze lieux de culte sont à ce jour suspendus et les sensibilisations se poursuivent avec les pasteurs comme ce fut le cas jeudi 13 juin au ministère de l’Administration territoriale. « Désormais, la gestion des sons est très importante et pour ce qui est de la suspension, oui, il y a des débordements mais des dispositions ont été prises », explique le révérend pasteur Eli Ndjekornonde, le secrétaire général du Conseil chrétien du Togo.
Parmi les églises incriminées, celles qui ont collaboré ont été félicitées, celles qui officient dans l’illégalité et ont été suspendues ne pourront plus être à nouveau ouvertes et sur les 8 500 églises que compte l’ensemble du territoire, beaucoup pourront voir leurs portes fermées en raison des nuisances sonores.
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