Ibrahima Ndiaye, qui travaillait au Nirvana au moment de son arrestation, vient d’être renvoyé devant la Chambre criminelle pour trafic international de drogue, selon Libération online. Tout avait commencé courant février 2019, lorsque l'Ocrtis avait reçu une information faisant état d'un trafic intense de drogue dure au niveau de certaines boites et restaurants huppés des Almadies. Les mêmes sources révélaient l'implication directe d'Ibrahima Ndiaye.
A la suite de plusieurs mois d'investigations, les enquêteurs découvraient qu'Ibrahima Ndiaye n'était que la face visible de l'iceberg. Il avait deux «patrons», des ressortissants anglais, connus au restaurant J’Go des Almadies. Ces derniers voulaient, au-delà même de l'établissement local d'un business de drogue dure, exporter le produit vers leur pays en cachant la marchandise dans des containers de fruit.
Une première souricière sera tendue par une équipe civile à Ibrahima Ndiaye et aux deux Anglais à l'hôtel «Le Virage », dans le même secteur. Mais, n'ayant pas le flagrant délit, les enquêteurs continuaient la filature. Lors d'une deuxième mission de surveillance, à la plage du «Virage », Ibrahima Ndiaye et certains de ses amis ont eu des soupçons sur un élément infiltré de l'Ocrtis qu’ils désignaient comme un voleur. La foule commençait à vouloir s'en prendre à l'élément qui exhibait sa carte.
Entre temps, Ibrahima Ndiaye avait disparu dans la nature. Il sera cueilli quelques jours plus tard, au Rond-Point Cambéréne, alors qu'il transportait un sac noir contenant de la drogue dure. L'enquête a révélé que les deux Anglais, devenus subitement introuvables, lui avaient remis, dans un premier temps, un acompte de 19 millions de Fcfa pour acheter de la « marchandise de qualité » destinée à la clientèle des Almadies.
A la suite de plusieurs mois d'investigations, les enquêteurs découvraient qu'Ibrahima Ndiaye n'était que la face visible de l'iceberg. Il avait deux «patrons», des ressortissants anglais, connus au restaurant J’Go des Almadies. Ces derniers voulaient, au-delà même de l'établissement local d'un business de drogue dure, exporter le produit vers leur pays en cachant la marchandise dans des containers de fruit.
Une première souricière sera tendue par une équipe civile à Ibrahima Ndiaye et aux deux Anglais à l'hôtel «Le Virage », dans le même secteur. Mais, n'ayant pas le flagrant délit, les enquêteurs continuaient la filature. Lors d'une deuxième mission de surveillance, à la plage du «Virage », Ibrahima Ndiaye et certains de ses amis ont eu des soupçons sur un élément infiltré de l'Ocrtis qu’ils désignaient comme un voleur. La foule commençait à vouloir s'en prendre à l'élément qui exhibait sa carte.
Entre temps, Ibrahima Ndiaye avait disparu dans la nature. Il sera cueilli quelques jours plus tard, au Rond-Point Cambéréne, alors qu'il transportait un sac noir contenant de la drogue dure. L'enquête a révélé que les deux Anglais, devenus subitement introuvables, lui avaient remis, dans un premier temps, un acompte de 19 millions de Fcfa pour acheter de la « marchandise de qualité » destinée à la clientèle des Almadies.
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