La saisie de drogue au port autonome de Dakar démontre que le Sénégal reste l’un des pays de transit de la cocaïne venant de l’Amérique latine. C’est le constat fait par les représentants de l’Union européenne, lors d’un séminaire pour la lutte contre le trafic de stupéfiants.
« La saisie qu’il y a eu au mois de juin passé démontre que le Sénégal est un flux de trafic grave. Il y a une véritable attention, une véritable urgence à ce que tous les acteurs se mettent au tour de la table pour mieux harmoniser la lutte », a constaté Mathieu Pitaco, commissaire division attaché de sécurité intérieure à l’Ambassade de France.
Pour lutter contre le trafic de stupéfiants, le commissaire ajoute qu’il faut que les actions soient coordonnées. Et que les différents services des différents pays travaillent main dans la main afin d’aider le Sénégal à corser le trafic international contre la drogue.
Lors de cette rencontre qui a regroupé la Police, la Gendarmerie, la Douane, la Justice et Santé, il a été constaté que la lutte contre le trafic illicite de stupéfiants est un véritable défis, en termes de gouvernance, de souveraineté, de développement économique, de stabilité et de paix.
C’est pourquoi les participants jugent que le trafic de drogue a un impact considérable sur les sociétés car c’est un facteur de paupérisation. Conscients de ces enjeux, les présidents sénégalais et français ont souhaité conjuguer leurs efforts et renforcer leurs dispositifs de lutte contre le fléau.
« La saisie qu’il y a eu au mois de juin passé démontre que le Sénégal est un flux de trafic grave. Il y a une véritable attention, une véritable urgence à ce que tous les acteurs se mettent au tour de la table pour mieux harmoniser la lutte », a constaté Mathieu Pitaco, commissaire division attaché de sécurité intérieure à l’Ambassade de France.
Pour lutter contre le trafic de stupéfiants, le commissaire ajoute qu’il faut que les actions soient coordonnées. Et que les différents services des différents pays travaillent main dans la main afin d’aider le Sénégal à corser le trafic international contre la drogue.
Lors de cette rencontre qui a regroupé la Police, la Gendarmerie, la Douane, la Justice et Santé, il a été constaté que la lutte contre le trafic illicite de stupéfiants est un véritable défis, en termes de gouvernance, de souveraineté, de développement économique, de stabilité et de paix.
C’est pourquoi les participants jugent que le trafic de drogue a un impact considérable sur les sociétés car c’est un facteur de paupérisation. Conscients de ces enjeux, les présidents sénégalais et français ont souhaité conjuguer leurs efforts et renforcer leurs dispositifs de lutte contre le fléau.
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