M. Bedoui a affirmé devant les journalistes à Tindouf que ce point de passage allait favoriser la circulation des biens et des personnes entre les deux pays.
Ce poste frontalier, le premier depuis l'indépendance des deux pays, est destiné à donner un coup de pouce aux relations économiques et commerciales bilatérales.
La construction du poste, qui a coûté près de 5 milliards FCFA à l'Algérie, est le fruit des accords qui ont été signés par les deux pays en novembre 2017.
La région désertique entre Tindouf (Algérie) et Choum (Mauritanie) a été considérée comme un repaire de trafics et de mouvements de combattants de groupes armés.
Elle avait été classée par la Mauritanie en une zone militaire fermée à la circulation des personnes.
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