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Une véritable aubaine pour les Thièssois



Une véritable aubaine pour les Thièssois

 
 Dans l’exposé des motifs de la loi 96 – 06 du 22 mars 1996 portant Code des Collectivités Locales (CCL), il est clairement indiqué dès le début que le Sénégal, depuis son accession à la souveraineté internationale, a opté pour une politique de décentralisation progressive et prudente mais désormais irréversible.
 
 Faut-il le rappeler, la décentralisation est un processus perpétuel (entamé véritablement depuis 1872 avec les quatre communes de plein exercice que sont Dakar, Gorée, Rufisque et Saint-Louis), une œuvre  de longue haleine qu’il faut toujours améliorer, parfaire et consolider. Dans son évolution, le processus de la décentralisation connaît certes du succès, mais pas plus qu’il ne rencontre des écueils dans sa mise en œuvre. Aujourd’hui, c’est avec beaucoup de regrets qu’on constate que la décentralisation n’a toujours pas su réformer l’Etat, elle n’a pas non plus su booster le développement à la base. Ce sont d’ailleurs ces deux obstacles entre autres qui  ont conduit à l’amorce d’une nouvelle réforme majeure, celle de l’acte III de la décentralisation. Nous espérons que cette réforme connaîtra des succès à la dimension de l’espoir suscité.
 
        Cette brève analyse nous autorise à affirmer non sans regrets que l’élu local n’a jamais su remplir pleinement son rôle ; bien qu’il ne faille pas exclure la responsabilité de l’Etat dans cette situation de blocage à laquelle nos collectivités décentralisées se trouvent confrontées. En effet, tout le monde sait que la décentralisation territoriale ne s’est malheureusement pas accompagnée d’une décentralisation financière qui permettrait aux collectivités autonomes de voler de leurs propres ailes. Les fonds alloués par l’Etat et le peu de ressources dont disposent ces collectivités sont très dérisoires pour pouvoir faire face aux innombrables défis auxquels elles font face. Pour espérer ainsi relever ces défis et du coup amorcer le développement tant souhaité, il faut une gestion saine, transparente, rigoureuse et rationnelle. Il faut un programme alternatif crédible. Il faut une main experte, un homme pragmatique, un visionnaire qui sait remettre ses visions à leur place. Rappelons le, l’élu local n’a qu’un seul rôle, c’est celui d’articuler deux principales logiques à savoir la logique de proximité et la logique de développement. Cette tâche requiert beaucoup d’ingéniosité.
 
        Pour toutes ces raisons, nous estimons que la candidature de Mamadou DIENG à la mairie de Thiès, sous la bannière de l’Entente Citoyenne/Deuk – bi, est venue à son heure. Occasion ne peut être plus opportune que celle-ci pour faire de la commune de Thiès un modèle de développement local au grand bénéfice de ses populations.
 
         Les raisons d’un optimisme :
 
        Humainement, l’homme est irréprochable. Son affabilité, sa courtoisie et son sens des responsabilités ne font l’objet d’aucune contestation. Au quartier Madina FALL, les témoignages sont unanimes : « c’est un homme juste et d’une grande humilité », c’est un homme du juste milieu qui ne pactise jamais avec les extrêmes », « c’est un homme très posé et extrêmement intelligent ». Malgré ces témoignages  favorables, francs du reste, loin de nous toute idée de vouloir peindre l’homme comme un saint. Mais nous ne pouvons pas non plus nous permettre de travestir la réalité. Nous ne serions pas justes et conséquents aven nous-mêmes.
 
        Homme de conviction, Mamadou DIENG a milité au P.I.T. pendant plus de 35 ans dans une loyauté et un dévouement sans commune mesure. Ce sont ces mêmes qualités, rares du reste chez la plupart de nos hommes politiques pour qui l’activité politique est faite de ruse et de démagogie, qui ont fait qu’il a eu à répondre favorablement à la main tendue du candidat Idrissa SECK lors des locales de 2009.
 
        Mamadou DIENG se réclame « candidat des daaras (école coraniques) et des femmes ». Ce choix témoigne à suffisance de son attachement et de sa sensibilité à l’endroit des couches vulnérables. D’ailleurs il ne rate jamais l’occasion de les assister, de les soutenir toutes les fois que le besoin se fait sentir. Aussi, a-t-il le social dans le sang. Les conditions matérielles des plus défavorisés et de leur amélioration le préoccupent au plus haut point. Dans ses œuvres de bienfaisance, l’implication de toutes les classes sociales est vivement recommandée. Dans l’esprit de Mamadou DIENG, l’administré est appelé à être un vrai acteur et non un éternel spectateur dans la conduite de sa propre destinée. Chez notre candidat, la gestion inclusive et concertée est loin d’être un slogan creux. A Madina FALL, il est un des initiateurs du mouvement dénommé « FAGGU » dont personne ne peut nier aujourd’hui l’intérêt qu’il porte à ses membres.
 
        Les seules qualités humaines ne suffisent pas pour garantir une bonne administration. Rousseau nous enseigne que « Pour bien connaître les hommes, il faut les voir agir ». Pour ceux qui connaissent l’homme, son expérience ne fait l’objet d’aucune controverse. Mamadou DIENG capitalise trois mandats consécutifs au sein du conseil municipal de Thiès. Fort de sa qualité d’inspecteur du trésor de classe exceptionnelle, il tient avec brio son poste de président de la commission des finances à la mairie de Thiès. Adjoint au maire, il a eu à assurer à plusieurs occasions son intérim, et toujours honorablement.
 
        Malgré ses qualités professionnelles incontestables et son expérience avérée, Mamadou DIENG abhorre la gestion individuelle. Aujourd’hui, le constat c’est qu’au lieu de leaders pour bien les animer, les institutions ont besoins de serviteurs. Le pouvoir, fut-il « municipal » ne doit pas être un canal d’accession à la richesse ou à la promotion sociale. Il ne doit pas être non plus un support pour enrichir de fidèles partisans ou détruire de farouches adversaires.
 
        Il n’y a pas de pouvoir que celui qui transcende les volontés particulières, celui qui se hisse au dessus des particularismes et autres formes d’irrédentisme.
 
        Le constat encore plus amer c’est que la plupart de nos institutions municipales ne brillent pas par leur transparence. Aujourd’hui, certains de nos élus locaux se sont tristement illustrés en ayant maille à partir avec la justice pour mauvaise gestion au préjudice de leurs administrés.
 
        Notre candidat entend définitivement signer l’arrêt de mort de ces pratiques peu orthodoxes qui n’honorent point leurs auteurs. Dans unes de ses blagues, Mamadou DIENG assimile le maire à un bon père de famille. Un père de famille sur les épaules de qui repose l’espoir de toute une famille, doit être un bon capitaine. Il ne doit s’aventurer à faire tanguer le navire : ce ne serait pas à son seul péril.
 
        En déclinant ses priorités (nous n’allons pas reprendre ici tout son programme), Mamadou DIENG réserve une place de choix à l’éducation des enfants en s’engageant avec les acteurs du secteur éducatif ; à la santé, en contractant également avec les structures sanitaires. La salubrité, l’éclairage public sont aussi prioritaires chez notre candidat. L’insécurité prend de l’ampleur plus qu’avant dans la capitale du rail, et seules des mesures hardies et une volonté politique courageuse pourraient venir à bout de ceux qui ont choisi d’être  la terreur de leurs concitoyens.
 
        Pour le candidat de l’Entente Citoyennes /Deuk-bi, la pauvreté ainsi que tous les autres défis auxquels la ville de Thiès fait face ne sont pas une fatalité. Mais ces défis sont tellement colossaux que pour les éradiquer, il faut un vaste rassemblement, une alliance solide encore que la gestion d’une collectivité locale est tellement complexe qu’elle exige une  expertise avérée ainsi que l’implication de toutes les populations. C’est fort de ce constat que notre candidat en appelle à la conjugaison de toutes les forces. Après tout, l’esprit de la décentralisation c’est de permettre aux populations  des collectivités autonomes de prendre en charge leurs préoccupations essentielles et ainsi devenir les actrices de leur propre développement. La décentralisation c’est aussi une école de la démocratie. Une gestion non inclusive ne peut que s’écarter de ses principes et de son esprit. Bannissant la gestion individuelle, Mamadou DIENG est convaincu qu’avec une gestion collégiale impliquant tous les acteurs, son rêve de faire de Thiès une ville prospère n’est pas une utopie.
 
        Une institution est inséparable de la personne qui en assure la charge. Elle peut la façonner à son image. L’image qu’offre le candidat de l’Entente Citoyenne / Deuk - bi est plus que rassurante. Sa candidature est soutenue par une frange importante de la population thièssoise. Même le P.V.D. du grand marabout Serigne Modou Kara MBACKE n’est pas en reste dans cet élan de soutien.
 
        Mamadou DIENG est d’avis que le travail accompli, la compétence, le dévouement sont pris au sérieux, et qu’il est mieux de travailler  que de flemmarder pour mériter la reconnaissance de ses administrés.
 
        Thièssoises, Thièssois, ne nous-y trompons pas, nous ne devons mettre à la tête de notre commune que celui qui se distingue par ses qualités, celui qui n’agit que dans le seul intérêt de ses administrés et dans le respect total de la loi. Donnons-nous donc pour Maire le candidat Mamadou DIENG dont les qualités humaines et professionnelles sont connues de tous et culminent dans un engagement citoyen et une détermination sans faille avec l’ensemble des femmes et hommes de qualité qui partagent avec lui ce magnifique destin et cette noble détermination à faire de notre belle et glorieuse ville , une cité émergente.
 
Thièssoises, thièssois, le fil en or est à la portée de notre main, un petit geste aura suffi pour le saisir : il s’agira simplement de voter pour Mamadou DIENG, candidat de l’Entente Citoyenne/ Deuk-bi, candidat de l’espoir et de la raison.

 Pape Amadou DIA
Ancien Secrétaire Général de l’ODCAV de Thiès
Ancien Secrétaire Général de l’ORCAV et de l’ONCAV  Thiès ;


Lundi 30 Décembre 2013 - 14:52


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1.Posté par debondella ka le 10/01/2014 17:36
vous avez bien vu, dieng est une vraie alternative

2.Posté par alpha le 09/04/2014 13:46
monsieur dia, je suis dakor avec vs. Aubaine ne peut ètr meilleure q l election de dieng a la tète de notr municipalitè. Votons dieng et ns avons droit d espèrer

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