Son chef, Maman Sidikou, dit dans un communiqué être préoccupé par le désaccord entre l’opposition et le gouvernement.
Certains partis politiques veulent organiser des manifestations à Kinshasa et à Lubumbashi. Mais le gouvernement affirme avoir pris des mesures pour les empêcher.
Devant cette situation, M. Sidikou souligne "la nécessité pour l'ensemble des acteurs congolais de faire preuve de la plus grande retenue".
"Il exhorte les autorités congolaises à agir dans le respect scrupuleux de l'Etat de droit" et à "favoriser le déroulement d'un dialogue politique (…) de nature à permettre la tenue d'élections paisibles, transparentes et crédibles", selon le communiqué.
Les rassemblements sont interdits en RDC, mais certains leaders politiques du pays célèbrent ce dimanche, par des manifestations, le 26e anniversaire de l’avènement du multipartisme, selon l’un des correspondants de BBC Afrique dans le pays.
Il signale que des forces de sécurité ont été déployées sur une bonne partie du territoire congolais.
L'opposition promet de se réunir à Lubumbashi, la deuxième ville du pays, malgré l’interdiction des manifestations et le déploiement des forces de sécurité.
Notre correspondant a décrit "une situation confuse" dans cette ville.
Source: BBC Afrique
-
Cameroun - Présidentielle 2025 : 13 candidatures validées, Maurice Kamto écarté
-
Thaïlande: la loi martiale déclarée dans huit districts, un risque de «guerre» avec le Cambodge
-
Guinée: l'épidémie de mpox s'étend dans le pays, un an après son apparition
-
Centrafrique: la pression se renforce sur le gouvernement concernant le sort de l'ex-rebelle Armel Sayo
-
Niger: deux ans après le coup d'État, le président Tiani dénonce «les forces impérialistes déstabilisant son pays»