Valérie Trierweiler en négociations avec Canal+... Plus que jamais journaliste !

C'est le flou depuis l'élection de François Hollande au poste suprême. Si Valérie Trierweiler n'a jamais caché sa volonté de rester journaliste - notamment en tenant une chronique culture dans les pages de Paris Match - dans les faits, sa position fait grincer des dents. Depuis le tweet de soutien à l'adversaire de Ségolène Royal, la première dame est contrainte de redéfinir son rôle auprès de François Hollande. Si l'on en croit Europe 1, elle ne choisira pas entre sa carrière et son cabinet de l'Élysée, où elle enchaîne les rendez-vous : lundi, elle a reçu Barbara Hendricks qui venait de visiter le Burkina Faso en sa qualité d'ambassadrice de bonne volonté de l'ONU. La cantatrice et la journaliste ont évoqué la situation des réfugiés maliens et des enfants.

Ce jeudi, Valérie Trierweiler fera sa grande rentrée dans les pas de Danielle Mitterrand. Très touchée par les difficultés que connaît l'association France Libertés - Fondation Danielle Mitterrand depuis le décès de l'épouse de François Mitterrand, Valérie Trierweiler est attendue au palais d'Iéna, à Paris, où soixante-dix-neuf oeuvres appartenant à la collection François Mitterrand, réalisées par des artistes du monde entier, seront mises en vente au profit de la fondation. Du côté de l'association, on précise que le rôle de Valérie Trierweiler au sein de la fondation est "encore en discussion" et qu'elle n'en sera pas la présidente.

Si François Hollande avait annoncé la présence de Valérie Trierweiler "à chaque fois que le protocole l'exige", Europe 1 précise que c'est en réalité à la demande. Mardi, le couple présidentiel inaugurait au Louvre les nouveaux espaces dédiés aux arts arabo-andalous, mamelouks, ottomans et persans. Dimanche, elle accueillait à ses côtés les Parisiens venus découvrir l'Élysée dans le cadre des Journées du patrimoine. Les 25 et 26 septembre, elle accompagnera le président à New York pour visiter Ground Zero.
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