Le ministre des Forces armées, Abdoulaye Baldé a annoncé que des instructions ont été données au Premier ministre et à lui-même pour rencontrer les travailleurs des forces armées françaises du Cap Vert.
«Nous allons, dès la semaine prochaine les rencontrer le Premier ministre et moi-même en compagnie de leur centrale syndicale, la CNTS, en particulier pour examiner les voies et moyens de négocier ce qui doit l’être. Parce que, encore une fois» a déclaré le ministre des Forces armées».
Le maire de Ziguinchor a assuré que les intérêts des travailleurs ne seront pas bafoués. «Nous sommes dans un processus de négociation. Il est évident que nous allons prendre en compte dans les négociations finales et dans la signature de ces clauses la convention avec la France tous ces aspects-là» a-t-il souligné au micro de la Rfm.
Depuis l’annonce du départ des Forces armées françaises du Cap Vert, il y a une véritable levée de bouclier. C’est la raison pour laquelle Abdoulaye Baldé veut tempérer les ardeurs. «Nous appelons les uns et les autres à la raison. Des instructions ont été données au Premier ministre et à moi-même pour rencontrer le plutôt possible ces employés des forces françaises du Cap Vert» a insisté l'ancien directeur exécutif de l'Agence nationale pour l'organisation de la conférence islamique (ANOCI).
«Nous allons, dès la semaine prochaine les rencontrer le Premier ministre et moi-même en compagnie de leur centrale syndicale, la CNTS, en particulier pour examiner les voies et moyens de négocier ce qui doit l’être. Parce que, encore une fois» a déclaré le ministre des Forces armées».
Le maire de Ziguinchor a assuré que les intérêts des travailleurs ne seront pas bafoués. «Nous sommes dans un processus de négociation. Il est évident que nous allons prendre en compte dans les négociations finales et dans la signature de ces clauses la convention avec la France tous ces aspects-là» a-t-il souligné au micro de la Rfm.
Depuis l’annonce du départ des Forces armées françaises du Cap Vert, il y a une véritable levée de bouclier. C’est la raison pour laquelle Abdoulaye Baldé veut tempérer les ardeurs. «Nous appelons les uns et les autres à la raison. Des instructions ont été données au Premier ministre et à moi-même pour rencontrer le plutôt possible ces employés des forces françaises du Cap Vert» a insisté l'ancien directeur exécutif de l'Agence nationale pour l'organisation de la conférence islamique (ANOCI).
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