Mouhamadou Makhtar Cissé a effectué une visite de terrain pour sensibiliser sur les dangers liés à la cohabitation avec les lignes de haute tension. Ce constat est fait, à Dakar et sa banlieue, des Sénégalais vivent à côté de ces poteaux électriques de 90.000 à 225.000 volts. « Un véritable problème de sécurité », alerte le Directeur général de la Société Nationale d’Electricité du Sénégal (SENELEC).
« Il faut que des mesures radicales soient prises pour éradiquer cette anarchie », lance-t-il en appelant le ministre de l’Intérieur à se « (concerter) avec les autorités policières ainsi que les représentants de l’Etat pour statuer sur cette situation ».
« Que ceux qui ont des droits puissent respecter les décisions de ne pas construire sous les lignes ou à côté des lignes et aller devant les Tribunaux pour se faire rembourser s’ils ont vraiment les titres pour cela. Mais, on ne peut pas dire, c’est mon terrain, construire, s’exposer et exposer les autres. Nous ne pouvons pas en permanence mettre des Brigades de surveillance sur les différents sites pour faire en sorte que les constructions ne reprennent pas. A chaque fois que nous tournons le dos, les constructions reprennent de plus belle. L’Etat doit pouvoir les contraindre à ne pas construire, à les dédommager au besoin si tel est la décision d’un Tribunal qui siégerait à cet effet », préconise-t-il.
Face à l’anarchie, « il sera matériellement impossible pour les techniciens d’intervenir à cause de l’étroitesse des lieux qui n’est pas propice au déplacement de matériaux lourds comme une grue de 200 tonnes, nécessaires à une telle opération », assure-t-il par ailleurs.
« Il faut que des mesures radicales soient prises pour éradiquer cette anarchie », lance-t-il en appelant le ministre de l’Intérieur à se « (concerter) avec les autorités policières ainsi que les représentants de l’Etat pour statuer sur cette situation ».
« Que ceux qui ont des droits puissent respecter les décisions de ne pas construire sous les lignes ou à côté des lignes et aller devant les Tribunaux pour se faire rembourser s’ils ont vraiment les titres pour cela. Mais, on ne peut pas dire, c’est mon terrain, construire, s’exposer et exposer les autres. Nous ne pouvons pas en permanence mettre des Brigades de surveillance sur les différents sites pour faire en sorte que les constructions ne reprennent pas. A chaque fois que nous tournons le dos, les constructions reprennent de plus belle. L’Etat doit pouvoir les contraindre à ne pas construire, à les dédommager au besoin si tel est la décision d’un Tribunal qui siégerait à cet effet », préconise-t-il.
Face à l’anarchie, « il sera matériellement impossible pour les techniciens d’intervenir à cause de l’étroitesse des lieux qui n’est pas propice au déplacement de matériaux lourds comme une grue de 200 tonnes, nécessaires à une telle opération », assure-t-il par ailleurs.
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