En accueillant le président tunisien dans le Bureau ovale, M. Obama affiche son soutien à la Tunisie en proie à une instabilité politique depuis le "printemps arabe" en 2011. Le pays qui a organisé avec succès fin 2014 ses premières élections libres, fait figure de modèle par rapport aux autres pays du "printemps arabe".
Mais confronté à d'énormes défis économiques et sociaux ainsi qu'à une mouvance jihadiste armée qui a fait des dizaines de morts, le président tunisien espère bien ne pas repartir de Washington les mains vides.
"Si les Etats-Unis et d'autres aident la Tunisie, oui, nous pouvons devenir un modèle", a-t-il averti mercredi, au premier jour de sa visite, insistant sur le chemin restant à parcourir. "Nous n'avons pas encore réussi, nous avons simplement franchi quelques étapes", a-t-il ajouté.
AFP
C'est la deuxième fois que Barack Obama reçoit M. Caïd Essebsi dans le Bureau ovale. La première fois, en octobre 2011, ce dernier était Premier ministre d'un gouvernement de transition, mis en place après le soulèvement populaire qui avait renversé le régime de Zine el Abidine Ben Ali le 14 janvier de la même année.
Devenu en décembre, à 88 ans, le premier chef d'Etat élu démocratiquement au suffrage universel en Tunisie, il est confronté à d'importants défis sécuritaires. En effet l'attentat revendiqué par l'organisation Etat islamique contre le musée du Bardo en mars, qui a fait 22 morts, dont 21 touristes étrangers, a porté un rude coup au pays qui s'appuie largement sur l'industrie du tourisme.
Mais confronté à d'énormes défis économiques et sociaux ainsi qu'à une mouvance jihadiste armée qui a fait des dizaines de morts, le président tunisien espère bien ne pas repartir de Washington les mains vides.
"Si les Etats-Unis et d'autres aident la Tunisie, oui, nous pouvons devenir un modèle", a-t-il averti mercredi, au premier jour de sa visite, insistant sur le chemin restant à parcourir. "Nous n'avons pas encore réussi, nous avons simplement franchi quelques étapes", a-t-il ajouté.
AFP
C'est la deuxième fois que Barack Obama reçoit M. Caïd Essebsi dans le Bureau ovale. La première fois, en octobre 2011, ce dernier était Premier ministre d'un gouvernement de transition, mis en place après le soulèvement populaire qui avait renversé le régime de Zine el Abidine Ben Ali le 14 janvier de la même année.
Devenu en décembre, à 88 ans, le premier chef d'Etat élu démocratiquement au suffrage universel en Tunisie, il est confronté à d'importants défis sécuritaires. En effet l'attentat revendiqué par l'organisation Etat islamique contre le musée du Bardo en mars, qui a fait 22 morts, dont 21 touristes étrangers, a porté un rude coup au pays qui s'appuie largement sur l'industrie du tourisme.
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