L'Armée syrienne libre distribue l'aide alimentaire reçue du Croissant Rouge, près d'Idleb, le 28 octobre 2012.
La française Hélène Flautre, pour les écologistes, s'est montrée très critique. Elle a pointé du doigt le fait que l'aide transite obligatoirement par le régime de Bachar el-Assad.
« Parler aujourd'hui de neutralité de l'aide humanitaire et l'accompagner de cette phrase : 'J'espère que le droit humanitaire sera respecté par toutes les parties', c'est vraiment ce que l'on appelle se payer de mots. Le principe de neutralité est en train d'être pulvérisé par la partialité de la délivrance de notre aide humanitaire sur le terrain, des camions qui arrivent à l'aéroport de Damas et envoient toute l'aide humanitaire dans des zones qui sont contrôlées par le régime. »
De son côté, Catherine Ashton « accepte le fait que c'est très difficile à mener à bien. Mais, ajoute-t-elle, vous savez combien il est important de travailler le mieux possible avec les agences et les ONG. Nous devons nous assurer que les travailleurs humanitaires sont en sécurité et que l'aide est délivrée de la manière la plus efficace possible. »
Mais Catherine Ashton a ajouté qu'il fallait continuer à envoyer de l'aide et aussi à rechercher une solution diplomatique pour la Syrie.
Source : Rfi.fr
« Parler aujourd'hui de neutralité de l'aide humanitaire et l'accompagner de cette phrase : 'J'espère que le droit humanitaire sera respecté par toutes les parties', c'est vraiment ce que l'on appelle se payer de mots. Le principe de neutralité est en train d'être pulvérisé par la partialité de la délivrance de notre aide humanitaire sur le terrain, des camions qui arrivent à l'aéroport de Damas et envoient toute l'aide humanitaire dans des zones qui sont contrôlées par le régime. »
De son côté, Catherine Ashton « accepte le fait que c'est très difficile à mener à bien. Mais, ajoute-t-elle, vous savez combien il est important de travailler le mieux possible avec les agences et les ONG. Nous devons nous assurer que les travailleurs humanitaires sont en sécurité et que l'aide est délivrée de la manière la plus efficace possible. »
Mais Catherine Ashton a ajouté qu'il fallait continuer à envoyer de l'aide et aussi à rechercher une solution diplomatique pour la Syrie.
Source : Rfi.fr
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