Lundi 7 octobre, quelques centaines d'usagers de la cigarette électronique ou représentant des fabricants ont manifesté devant le Parlement européen. Getty Images / Martina Paraninfi
On la trouve aujourd'hui partout mais si les députés européens décident de la classer comme médicament, la cigarette électronique pourrait être, in fine, uniquement délivrée en pharmacie. Une hérésie pour les « vapoteurs » - ils sont plus d'un million en France - qui ont trouvé des alliés inattendus : des tabacologues, des pneumologues, cardiologues ou cancerologues qui, comme eux, pensent qu'une telle décision serait un frein dans la lutte contre le tabagisme.
700 000 Européens meurent du tabac chaque année, alors pour ces professionnels de santé, tout ce qui est fait pour éloigner du tabac est bon pour la santé publique. Et selon eux, la cigarette électronique peut être, en effet, un produit de transition pour arrêter de fumer. Les associations de « vapoteurs », elles, sont tout aussi catégoriques : si l'e-cigarette devient un médicament, ce sera plus simple d'acheter des cigarettes au bureau de tabac.
Qui dit aussi médicament, dit autorisation de mise sur le marché. Une procédure longue et coûteuse qui suppose des études pour chaque produit, pour chaque arôme. De son côté, la Commission européenne persiste et signe : la cigarette électronique doit être considérée comme un subsitut nicotinique pour l'arrêt du tabac et avoir le statut de médicament au même titre que les patchs et pastilles.
SOurce : Rfi.fr
700 000 Européens meurent du tabac chaque année, alors pour ces professionnels de santé, tout ce qui est fait pour éloigner du tabac est bon pour la santé publique. Et selon eux, la cigarette électronique peut être, en effet, un produit de transition pour arrêter de fumer. Les associations de « vapoteurs », elles, sont tout aussi catégoriques : si l'e-cigarette devient un médicament, ce sera plus simple d'acheter des cigarettes au bureau de tabac.
Qui dit aussi médicament, dit autorisation de mise sur le marché. Une procédure longue et coûteuse qui suppose des études pour chaque produit, pour chaque arôme. De son côté, la Commission européenne persiste et signe : la cigarette électronique doit être considérée comme un subsitut nicotinique pour l'arrêt du tabac et avoir le statut de médicament au même titre que les patchs et pastilles.
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