Moustapha Sall, le chargé des revendications est revenu sur les protocoles, les points négociés, les engagements du gouvernement avant d’en tirer des constats. Quatre points ont été évoqués : les réformes des titres universitaires, conditions de travail et sociales, dont les points négociés sont le maintien du pouvoir d’achat de l’enseignant retraité (80% du dernier salaire net) et la prise en charge sanitaire. Il ya l’accès au logement avec le respect de l’accord de 2015 et enfin le quatrième point qui concernant l’augmentation des budgets avec la détermination de ses budgets à partir des coûts unitaires et l’équilibre des budgets.
Ainsi, rappelle le syndicaliste, « le gouvernement s’était engagé respectivement à mettre en œuvre la réforme des titres. C'est-à-dire l’adoption du projet de loi par le Conseil des Ministres au plus tard en début juin 2015 et transmission à l’Assemblée nationale. La date d’application c’est le 1er janvier 2016. Le gouvernement avait proposé aux enseignants du supérieur la retraite complémentaire par une souscription privée auprès des compagnies d’assurances. Il s’était engagé à trouver des solutions urgentes avec les appuis du ministre de la Fonction Publique et de celui de l’Economie des Finances et du Plan. le gouvernement avait accepté le principe de la revalorisation de la prime académique. Il s’était engagé à faire des propositions concrètes dans un délai de 15 jours, à compter du lundi 16 mars 2015. Le MEFP s’était engagé à sécuriser les salaires, les indemnités et les voyages d’études des PER sur toute l’année », dit-il.
Le Saes a par ailleurs tiré des constats entres autres, adoption du projet de loi sur la réforme des titres en conseil des ministres du 13 janvier 2016. La date d’application est dépassée de 30 jours. D’après Moustapha Sall, « le Saes avait exprimé son désaccord sur cette proposition du gouvernement et maintient la proposition faite sur la base des études réalisées. Aucune avancée et les enseignants et leurs familles sont encore et toujours rejetés des structures hospitalières. 300 jours après aucune proposition du gouvernement. La dotation de l’Etat ne permet pas la mise en place d’un budget annuel, sincère et équilibré, le retard récurrent de paiement des salaires, non paiement des salaire des heures de vacation ». Le chargé des revendications, Moustapha Sall a informé qu’ils comptent déposer un préavis de grève de 48 heures demain le 9 février 2016. Ce, pour alerter l’opinion.
Ainsi, rappelle le syndicaliste, « le gouvernement s’était engagé respectivement à mettre en œuvre la réforme des titres. C'est-à-dire l’adoption du projet de loi par le Conseil des Ministres au plus tard en début juin 2015 et transmission à l’Assemblée nationale. La date d’application c’est le 1er janvier 2016. Le gouvernement avait proposé aux enseignants du supérieur la retraite complémentaire par une souscription privée auprès des compagnies d’assurances. Il s’était engagé à trouver des solutions urgentes avec les appuis du ministre de la Fonction Publique et de celui de l’Economie des Finances et du Plan. le gouvernement avait accepté le principe de la revalorisation de la prime académique. Il s’était engagé à faire des propositions concrètes dans un délai de 15 jours, à compter du lundi 16 mars 2015. Le MEFP s’était engagé à sécuriser les salaires, les indemnités et les voyages d’études des PER sur toute l’année », dit-il.
Le Saes a par ailleurs tiré des constats entres autres, adoption du projet de loi sur la réforme des titres en conseil des ministres du 13 janvier 2016. La date d’application est dépassée de 30 jours. D’après Moustapha Sall, « le Saes avait exprimé son désaccord sur cette proposition du gouvernement et maintient la proposition faite sur la base des études réalisées. Aucune avancée et les enseignants et leurs familles sont encore et toujours rejetés des structures hospitalières. 300 jours après aucune proposition du gouvernement. La dotation de l’Etat ne permet pas la mise en place d’un budget annuel, sincère et équilibré, le retard récurrent de paiement des salaires, non paiement des salaire des heures de vacation ». Le chargé des revendications, Moustapha Sall a informé qu’ils comptent déposer un préavis de grève de 48 heures demain le 9 février 2016. Ce, pour alerter l’opinion.
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